Un nouveau genre de gameplay basé sur un moteur physique et les ombres des objets, génial !
Via un tweet de PresseCitron
Un nouveau genre de gameplay basé sur un moteur physique et les ombres des objets, génial !
Via un tweet de PresseCitron
Game One nous propose un reportage passionnant, commenté par Lorant Deutsch, sur l’histoire du jeu vidéo des années 70 (avec l’apparition du jeu Pong) à aujourd’hui.
L’association Mo5 fondé par Philippe Dubois il y a plus de 10 ans. Elle a été nommée ainsi en hommage au micro-ordinateur Thomson MO5 sorti en 1984. Les fondateurs de l’association ont assemblé une des plus grandes collections d’Europe, dédiée à l’histoire de l’informatique et des jeux vidéo.C’est au sein de cette association mythique que Philippe Ulrich et Marc Lacombe (dit Marcus) se sont rencontré pour débattre sur le jeu vidéo.
Philipe Ulrich est le fondateur de la société de développement de jeux vidéo Cryo Interactive. On lui doit notamment des jeux comme Versailles, Megarace, Alien ou encore Dune.
Marcus est quant à lui, une figure emblématique du jeu vidéo. On le connait principalement pour son émission Level One, une émission phare de Game One, dans laquelle l’animateur avait pour mission de présenter le premier niveau d’un jeu vidéo. Level One est considéré comme la première émission populaire sur les jeux vidéo. Depuis 2007, il présente Retro Game One, une émission consacrée aux jeux vidéos des années 1980 au début des années 1990.
Le reportage se compose de deux grandes périodes fondamentales pour l’univers du jeu vidéo. De 1970 à 1975, on y présente Attari et les premières consoles, la guerre entre SEGA et Nintendo, les premières licences (Mario, Donkey Kong…) ainsi que des jeux marquants comme Pong, Space Invaders… De 1995 à nos jours, la console devient un véritable loisir grand public. Les consoles deviennent de plus en plus puissantes avec la PlayStation qui domine le marché. On y présente aussi la Wii acomme la console du « futur ». Le reportage aborde le cas des nouvelles licences à succès Tomb Raider, Grand Turismo…
En résumé ce reportage permet aux fans de redécouvrir des consoles mythiques. Pour les novices, cela leur permettra de découvrir un pan, qui leur était jusqu’à là inconnu, de l’histoire du jeu vidéo
Aujourd’hui c’est vendredi et on va discuter un peu technologie.
Flash 10 nous a bien bassiné les oreilles avec son support 3D. Malgré cela le rendu reste encore assez old school et n’arrive pas à la cheville de ma bonne vieille Game Cube. Oui je suis méchant, mais tout le monde le sait.
Cependant il y’a un moteur 3D qui commence à bien faire parler de lui: Unity. Stéphane Becker de CreativePattern m’en avait déjà pas parlé, on va donc creuser un peu.
Techniquement Unity est un outil de développement multiplateforme et d’un plugin pour votre navigateur. La procédure d’installation est ultra rapide et je pense qu’elle n’est pas un frein. La preuve est le succès que remporte le Paradise Paintball de Cmune basé sur cette techno. Pour vous faire une idée le petit screencast des familles:
Bon le jeu est un peu simple, alors en voici un autre carrément plus méchant (en démo sur le site officiel): Aver Fate.
Unity est une plateforme très intéressante pour les studios, car il son plugin est disponible sur : PC, Mac, Wii, iPhone et dans le navigateur. Ainsi un même jeu est porté sans trop d’efforts sur les différentes plateformes. A cela s’ajoute une pléthore d’outils de développement. Ce qui n’est pas rien car ils augmentent la productivité des équipes.
L’actualité autour de Unity est riche. L’équipe publie régulièrement des statistiques sur l’équipement des joueurs et récemment ils ont sorti leur kit pour créer des jeux en 3D sur Iphone. L’outil de développement devrait être disponible d’ici peu sur PC.
Les applications pleuvent, à tel point que Unity a créé un concours sur leur forum spécialement pour les jeux. La liste est impressionnante et même si ces jeux ne sont pas tous des merveilles du genre ce sont près de 70 soumissions au concours. Voici les 3 gagnants (forum favorite, gameplay, best visual design) :
Flash
La 3D dans flash 10 en natif va améliorer la manipulation et optimiser les rendus. Toute la question est de savoir si l’API est suffisamment riche pour faciliter la manipulation des objets.
Avec 98% du parc équipé, Flash dispose de l’argument de masse. On peut craindre un nivellement par le haut (ou le bas c’est selon). En effet quel intérêt d’utiliser un autre plugin autre si on peut faire la même chose avec Flash. Maintenant Flash souffre d’un manque d’outils et d’interaction avec des outils de créations 3D plus classique. Il faut souvent faire appel à des projets externe comme Papervision3D pour avoir une base technologique intéressante.
Java
Java est bien présent sur le parc. La manipulation d’objet est bonne, mais bon dieu le démarrage de l’application est vraiment lent. Dans le même temps vous pouvez installer Unity et commencer à manipuler l’application…
Shockwave
Une installation qui fait encore peur. Mais elle reste bien acceptée et réalisée sur de nombreuses machines. Historiquement c’était la base technologique de Macromedia pour les jeux en 3D et l’intégration de technologies externes (les fameux eXtra de Director 😉 ). Adobe a tendance à le laisser un peu de côté, mais on peut comprendre qu’ils cherchent à rationaliser leur offre.
VRML et compagnie
Sorti trop tôt, ces technologie n’ont jamais su apporté un support efficace. D’autre part, leur standardisation n’a pas été un succès, une raison de plus à leur échec.
Les autres plugins
Ils sont souvent dédiés à une tâche bien spécifique. Et sont très peu représenté sur le parc informatique. les procédures d’installation varie fortement. Ils doivent être pertinent pour arriver à convaincre l’utilisateur de les installer. Ce n’est vraiment pas évident.
Petit schéma de la répartition des technologies
(source Hébiflux):
Unity est une très bonne plateforme pour le jeu 3D. Elle répond parfaitement au besoin et permet aux studios de porter leurs réalisations sur d’autres plateformes. D’autre part le moteur est vraiment très performant et permet aux équipes de rester dans leur cadre technologique usuel.
Là où Flash impose tout un ensemble d’outils, Unity laisse le choix aux équipes. Cependant Flash est plus abordable pour des petites équipes qui débutent. Son faible coût et la simplicité de ses outils permettent de développer plus facilement un jeu. Cependant dans le contexte d’un jeu en 3D, les équipes n’ont plus le même profile. Et il faut de toute manière compléter le choix de Flash par des outils de modélisation 3D et l’emploie d’un framework 3D en AS3… La pile technologique se complexifie et n’est pas forcément la plus optimale (à mon avis).
Personnellement je regrette l’absence d’un support Linux. C’est dommage surtout lorsqu’il s’agit de convaincre des profils plus techos.
En définitive, je pense que pour l’utilisateur l’usage d’Unity n’est pas un problème, il s’installe rapidement. C’est une technologie pertinente et vraiment prometteuse. A suivre donc !
Alors il y’a eu pas mal de mouvements ces derniers temps autour de la technologie Adobe Flash. J’ai fait une sélection d’articles qui m’a semblé intéressante à lire en tant que créateur de contenu Flash.
Tsouin.com s’est attelé à comparer 4 moteurs 3D régulièrement utilisés (avec une mise à jour):
Selon Tsoin.com, les différences entre Away3D, Alterniva3D et Papervision se tiennent dans un mouchoir de poche (pour les performances brutes). Reste maintenant à voir lequel vous séduira en terme d’API et de fonctionnalités. Un point qui n’a pas été comparé est la qualité du rendu graphique. Peut être qu’un autre comparatif tombera sur ce point en modélisant les mêmes scènes avec les mêmes textures ?
Je rappelle les liens :
Décidément Papervision fait toujours autant parlé de lui. Digital Pictures Interactive a publié une démo d’un petit personnage complet et animé. Il est annoncé que l’équipe aurait employé Papervision pour intégrer le personnage à la capture de la webcam.
D’autres expériences du genre ont déjà vue le jour comme :
Voici la vidéo:
Papervision – Augmented Reality (extended) from dpinteractive on Vimeo.
a publié un super article sur comment masquer efficacement des objets de votre scène.
Ce qu’on y apprend c’est qu’il faut comme souvent choisir la bonne méthode en fonction de son contexte et des objectifs recherchés.
L’article complet en anglais : The Official « visible vs alpha vs removeChild() » Showdown
Voici une vidéo très intéressante qui va vous apprendre à tricher avec n’importe quel jeu en Flash. Le hack est basé sur la modification en mémoire vive des valeurs du processus dans lequel est exécuté le jeu.
Pour les moins techos, je vais tenter une explication. Pour shématiser, à chaque fois que vous jouer votre navigateur va créer un processus pour faire tourner votre jeu. Ce processus a besoin de 2 ressources: de la mémoire pour stocker ses données (le score, les maps…) et de temps de calcul. La première est fournie par la mémoire vive et la seconde par le processeur de votre machine.
Comme toutes les variables sont stockées en mémoire vive, vous pouvez logiquement retrouver votre score ou vos ressources dans cet espace et donc les modifier !
La vidéo est en anglais.
How To Hack Any Flash Game – video powered by Metacafe
Et bien le hacks se base sur la comparaison et l’évolution des valeurs en mémoire. Si vous chiffrez les valeurs celà va devenir bien plus compliqué. En effet le tricheur va devoir trouver quel est l’algorithme de chiffrage et donc décompiler et analyser votre code. Vous vous dites peine perdue ? Non, pas du tout à chaque attaque sa parade. Il existe des offuscateur de code qui rendent la lecture extrêmement pénible à un humain mais pour un ordinateur.
D’autres attaques plus classiques existent, comme par exemple l’analyse des échanges entre votre jeu et ses serveurs. Des extensions firefox, comme par exemple Tamper Data, vous permettent de savoir quelles URL ont été appellées et avec quels paramètres.
Lorsque vous enregistrez votre score dans les highscore: votre jeu va soumettre une requête à un serveur. Et bien si l’application qui enregistre les scores n’est pas suffisament sécurisée, il suffit d’attaquer cette partie, pour se voir dans le tableau des high score sans avoir jouer une seule fois…
Celà peut sembler anodin comme attaque, après tout ce ne sont que des scores. Mais imaginez le cas d’un jeu concours avec des gains, dont le gagnant est celui qui fera le meilleur score ? Vous avez un sérieux problème. La sécurité est un point important à ne pas négliger, même lorsqu’on évolue dans le domaine du divertissement 🙂
Pour Peter Elst il s’agit de la meilleur présentation technique du festival Flash on the beach 08, il l’a donc enregistrée et diffusée. Cerise sur le gateau, Seb Lee-Dlisle diffuse le code source des exemples de sa présentation.
Il a réussi à concillier simplicité et esthétisme pour atteindre son objectif: nous donner envie d’utiliser Papervision3D (c’est un peu logique, il faire partie de la core team).
Pour ceux qui ne connaissent pas Papervision3D, il s’agit d’un moteur en temps réel 3D pour Flash :
On a droit au Hello World avec le placaque de la terre comme texture, comment positionner des vaches de l’espace… Bref une présentation fun, didactique et pleine d’intercations avec son auditoire.
Durée environ 56′ et c’est en anglais !
Seb Lee-Delisle – Papervision3D Simplified from Peter Elst on Vimeo.
Note: vous pouvez télécharger la vidéo sur vimeo (une fois identifié) ici.
Depuis quelques temps maintenant, on voit apparaître des jeux entièrement codés en JavaScript alors que la tendance générale est à l’édition de jeux en Flash. Est-ce une tendance de fond qui s’amorce ou bien est-ce simplement un effet de mode ?
Je vous propose de l’existant et des nouveautés qui se préparent pour ce marché encore confidentiel.