Je suis tombé sous le charme de ce jeu. Il allie tout ce que j’aime de Samorost, Ten Gnomes et une musique à couper le souffle.
Ce jeux est fantastique et ses énigmes loin de l’évidence vous porte dans un voyage imaginaire et féérique. Il fait partie de ces expériences poétiques du cybermonde. De la poésie impalpable qui vous envoute l’esprit et qui rend notre réalité plus agréable.
Etrange, poétique et enigmatique Shy Dwarf attise la curiosité. Créé par Jaromir Plachy du studio Amanita Design (Samorost), c’est un petit lutin noir et un chapeau rouge que vous allez aider dans une quête vers le repos.
Vous êtes là, dans un univers vierge où vous devrez trouvez un moyen pour passer à un autre tableau. Mais résumer Shy Dwarf serait réducteur. Conte bizarre, c’est un rêve interactif qu’on vous propose. Ne cherchez pas de logique, laissez vousporter pendant les quelques minutes de cette aventure psychédélique.
Les contrôles sont aussi perturbant. Ils ne sont pas fluides et les capacités de votre petit personnage, changeront à chaque niveau. Défauts ou volonté de l’auteur, notre coeur balance. Accordons lui le bénéfice du doute.
Shy Dwarf sera le moment de fantaisie et de légerté de votre journée d’aujourd’hui.
Rêver et jouer à Shy Dwarf.
Cette fois on sort des sentiers batus. C’est un projet Daphne Lim étudiant les arts et le multimedia à la RMIT University.
J’ai découvert ce jeu entièrement par hasard via ma petite veille sur twitter. On sort donc complètement des sentiers battus. Et il faut le reconnaître ça fait du bien ! Plus que jamais la production indépendante nous propose de vrais merveilles.
Dans The Blue Beanie on retrouve une ambiance à la Samorost. Cette utilisation du collage de photos agrémenté d’animations vectorielles proprounettes et mignonnes me plaît beaucoup.
Le système de jeu est principalement basé sur du point and click où il faut trouver la bonne combinsaison pour passer au niveau suivant. Rien de révolutionnaire, mais le charme des personnages et la succession des animations est vraiment sympathique. Le jeu est très facile, mais son objectif n’est pas de vous proposer un challenge de gamer, mais un petite histoire interactive fraîche et bucolique. Je n’en dis pas plus hormis qu’il y’a une vague histoire de bonnet bleu à résoudre 😉
Attention la vidéo est la solution complète du jeu ! Donc faites attention à ne pas vous gacher votre expérience de jeu.
Bonne promenade et n’oubliez pas de jouer à The Blue Beanie !
Samorost est pour moi la plus belle des réalisations vidéo-ludique. Son univers fantasmagorique et naïf vous transporte et vous fait prendre un bon bol d’air frais !
La série date de 2003 (pour le premier opus) et 2005 (pour le second). Comme le bon vin, ça ne vieillit pas tant le style est marqué et original. Bien loin des considérations techniques avec de super rendus 3D qui t’éclatent la pupille. Non tout l’attrait est basé sur la poésie, le juste équilibre entre étrange et merveilleux. C’est juste génial !
Le « jeu » se décompose en plusieurs tableaux, qui s’animent et dans lequel vous devrez activez les bonnes zones. Vous l’avez sans dout compris c’est un point’n’click/aventure.
Samorost est une création Jakub Dvorský membre du studio Amanita Design (allez y, ça vaut le détour). La caractéristique principale du jeu est son collage astucieux entre photomontages et dessins vectoriels.
Concernant le deuxième opus, il est divisé en 2 chapitre dont le 2e qui se révèle être payant. Il faut surtout noter que la qualité de cette suite est grandement améliorée. La bande son de Tomas Dvorak (nickname: floex) etles effets sonores de Tomas Dvorak (nickname: pif) y contribuent pour beaucoup. Les animations sont également plus travaillées et l’ensemble dispose d’encore plus de charme.
Voilà c’est plus qu’un coup de coeur, je suis véritablement fan de cet univers. Je vous invite également à découvrir Quest for the Rest (une autre création de Jakub).
Voilà donc si Jakub tu nous lit, nous on t’aime !
Voici les captures, histoire de vous donner bien bien envie :
Jouer à Samorost 1, ou à Samorost 2.