Jouer-Online Blog

Mechanical Commando est un jeu de shoot them all  proposé par Berzerkstudio et sponsorisé par Kongregate.

Dans ce jeu vous contrôler un robot militaire et devez passez au travers des forces ennemies pour mener à bien les missions qui vous sont confiées à chaque niveau. En clair, vous devez détruire tout ce qui bouge.

Les commandes sont assez simples :

• Pour vous diriger, utilisez les flèches du clavier ou les touches WASD,
• Visez et tirez avec la souris,
• pressez la barre d’espace ou Ctrl pour lancer un coup de mortier.

Certains bonus comme de nouvelles armes sont accessibles après avoir effectuer un certain nombre de niveaux. Quant aux packs de soin, ils vous aideront dans votre mission car le nombre d’ennemis augmente à mesure que l’on avance dans le jeu.

Techniquement Mechanical Commando est moins bon que Robokill, cependant il est plus accessible et nettement plus nerveux. Les boss de fin de niveau sont collossaux et les différentes missions sont accompagnées d’une musique très soignée. Ajoutons la réactivité de l’engin fine et nerveuse, et on obtient un incontournable du genre. C’est si amusant de voir les cadavres des fantassins s’elever en l’air quand leur lâche une bonne grosse rocket 🙂

Là ou 3000 AD favorisait la simulation avec certaines contraintes physiques, Mechanical Commando favorise l’arcade. Un mode autofire aurait presque été le bienvenu 🙂 En effet, la combinaison de touches vous oblige à marquer un temps d’arrêt pour faire feu avec le mortier. A moins que vous ne soyez un poulpe 😉

Mechanical Commando c’est de l’action pure et dure, où le seul mot d’ordre est l’extermination de vos ennemis. D’ailleurs votre score est calculé en fonction du pourcentage d’ennemi abbatu.

Le ton est donné, à vos canons ! Prêt ! Feu ! Tuez !

Jouer à Mechanical Commando

Voici pour vous, un jeu à la fois sanglant et sympathique : Bloody Fun Day. Non il ne s’agit pas d’une parodie d’un célèbre tube de U2, même si le plaisir qu’il nous donne à y jouer est identique à celui que nous procure U2.

Bloody Fun Day est un petit jeu de réflexion dans lequel vous incarnez la mort. Il reprend le principe du célèbre Bejeweled, mais ici ce ne sont pas des diamants avec lesquels vous jouez, mais des petits montres en couleurs.

Le but du jeu est de faucher des créatures (de couleur identique) proches les unes des autres, pour obtenir des pouvoirs spéciaux temporaires. Chaque coup vous fatigue et vous fait perdre des points de vie. Seuls les monstres rouges sont capables de vous rendre la santé. Chacun des monstres tués laissent à sa place un œuf. Essayez de ne pas les casser car ils libèreront de nouveaux monstres.

Bon avant de vous lancer on vous conseillera l’habituel tutorial, mais le jeu est tellement simple à jouer que vous pourrez vous lancer dès le début dans l’arène.

Jouer à Bloody Fun Day

Thing Thing

Date de sortie : 28 Août 2005.

Inspiré par la saga Madness, Crazy Monkey publie en 2005 un jeu de shoot / beat them all  Thing Thing. De l’aveu de son éditeur, ce premier opus est d’avantage une démonstration d’un nouveau moteur de jeu qu’un épisode complet.

Il introduit rapidement le scénario de base, mais surtout fonde tout le système de jeu pour les nombreux épisodes qui en découleront.

Avant de commencer le jeu, vous devez créer votre propre petit personnage (nom et apparence) avec lequel vous jouez tout au long de la partie.

Ainsi pour jouer on dispse des contrôles suivant:

• A et D pour diriger votre personnage,
• W pour sauter (tapez 2 fois ou laissez appuyer pour un double saut),
• S pour vous accroupir,
• E et Q pour changer d’armes,
• La souris pour viser et tirer,
• Ctrl pour frapper

Un conseil n’arrêtez jamais de tirer puisque c’est ça qui procure le plus de plaisir et qui vous permet de survivre. De quoi vous défouler et vous vider la tête après une journée bien chargée !

Cette épisode est le moins beau esthétiquement parlant, mais la sauce a pris grâce à la nervosité du titre.

Jouer à Thing-Thing

Thing Thing 2

Date de sortie : 22 Septembre 2005

Ce second épisode va graver dans le marbre le style graphique de la série. C’est beaucoup plus jolie et introduit de nombreuses armes. C’est à partir de cette épisode que la série prend toute sa dimension.

Le gameplay a également été amélioré, les comportement du personnage sont plus réactifs et les ennemis sont encore plus nombreux 😉

Jouer à Thing Thing 2

Thing Thing Arena

Date de sortie : 12 Février 2006

Toutes les déclinaisons Arena de Thing Thing sont des épisodes sans histoire, le seul  objectif est de survivre le plus longtemps possible aux hordes ennemis.

Thing Thing Arena vous propose plusieurs challenges :

• Survival Mode dans lequel vous devrez affronter de  » sympathiques  » robots,
• Zombie Mode où les robots sont remplacés par des zombies,
• Super Survival qui ressemble au Survival mode à part le fait que vous ayez moins de vie et que vos adversaires soient non seulement plus coriaces mais ils sont aussi plus rapides,
• Stinky Bean Survival qui se démarque des deux premiers modes puisque vos adversaires ne sont plus des robots ni des zombies mais des  » adorables  » petits ours en pluche.

Autant dire que quelques soit la partie que vous allez choisir à aucun moment vous allez vous ennuyer !

Le jeu propose une belle panoplie d’armes et une musique qui pourrait nous rappeler l’univers de Matrix.

Jouer à Thing Thing Arena

Thing Thing 3

Date de sortie : 6 Mai 2006

Avec ce troisième volet Crazy Monkey a introduit en plus du scrolling horizontal, un scrolling vertical. Les niveaux deviennent énormes et le gameplay prend énormément d’ampleur. C’est jouissif à souhait. Thing Thing conserve ce qui fait son succès en renouvelant l’expérience de jeu.

Les graphismes sont encore améliorés et toujours plus fins et détaillés sans tracher radicalement avec le deuxième opus.

Jouer à Thing Thing 3

Thing Thing Arena 2

Date de sortie : 29 Septembre 2006

Après le succès du premier volet, il aurait été dommage pour Crazy Monkey s’arrête en si bon chemin. Le voici de retour avec la suite du jeu Thing Thing Arena.

Thing Thing Arena 2 se démarque deu premier en propsant en introduction une cinématique allechante nous présentant ce qui nous attend avec ce nouveau jeu.

Arrivé à la page d’accueil (dont le design a été totalement modifié) , on retrouve la même arborescence que pour la version précédente. Du côté des modes on retouve ceux qui ont fait le succès du premier opus (Zombie mode, Stinky Bean Survival et Super Survival) auxquels s’ajoutent :

• Sentry Bonber Survival dans lequel vous affrontez des machines,
• Ultimate Survival où vous devez affronter les différents ennemis qu’on retrouve dans l’ensemble de la saga (zombies, robots et machines)

Cette nouvelle version confirme l’idée faite lors du premier succès : une véritable pépite !

Jouer à Thing Thing Arena 2

Thing Thing 4

Date de sortie : 31 Mars 2008

On croyait avoir tout dit sur la saga Thing Thing… Il s’agit de l’épisode central de la saga puisqu’on vous explique vos origine…. Mais qui est- vous donc ?

En gros on apprend que vous êtes en réalité un projet d’arme créé par la compagnie de développement et de recherche d’armes militaire:  la Société des Systèmes. Vous avez été conçus comme une machine de meurtre irrépressible jusqu’à ce que vous vous soyez évadés de votre cellule et ayez fait une fuite au monde extérieur. La Société des Systèmes n’acceptant pas votre gout pour la liberté, vous allez devoir vous battre et lutte pour la garder.

Pour la faire courte le jeu propose de nouvelles armes, des nouvelles tenues (pour vos personnage) et une histoire plus poussée.

Jouer à Thing Thing 4

Thing Thing Arena 3

Date de sortie : 5 Mars 2009

Thing Thing Arena 3 est le troisième volet de la Saga à ce jour.

Bien que le jeu soit un peut court, on retrouve tous les éléments qui ont fait le succès de Thing Thing Areana (personages à créer, armes à gogo, super ambiance et de l’action !).

Comme toujours on retrouve différents Survival Modes (3 pour être précis) : Zombie mode, Stinky Bean Survival et Super Survival). Mais ce qui distingue ce jeu des précédents, c’est le fait que l’éditeur y est mis un mode Story dans lequel il faut réflechir (oooooh noooooon !!!) et plus seulement tirer comme un dingue.

Cette épisode rajoute également un module de screenshoot, histoire de se préparer un petit album souvenirs.

Jouer à Thin Thing Arena 3

Conclusion

Thing Thing a su évoluer sans perdre tout ce qui fait son charme. Crazy Monkey a fait preuve d’une stratégie intéressante en créant la déclinaison Arena. Ils ont su approcher 2 population de joueurs. Arena donnera rapidement du fun sans se prendre la tête. Tandis que la ligne centrale se la série propose une histoire et une aventure nerveuse et sanglante.

Saluons également l’excellente durée de vie pour la série. 4 ans ce n’est pas rien pour un jeu flash.

Le titre a également beaucoup évolué depuis sa première sortie. Reste maintenant à savoir si un cinquième est encore possible au vue des nombreuses révélations du 4e épisode. Rien n’est moins sûr…

A l’heure où les jeux de courses résonnent avec lancés de carapaces ou voitures ultra tunning. Wipeout reste malgré ses 13 années un titre emblématique.

Jeu de course futuriste, Wipeout vous propose de prendre les commandes d’un aéroglisseur à antigravité ultra rapide lourdement armé. Oui vous avez bien lu, armé. Le jeu s’inspire de Hi-Octane de Bullfrog pour le système de combat et de F-Zero pour ce qui est des véhicules et de la thématique « course de la mort ».

Développée par  Psygnosis, la série Wipeout est apparue en 1995 et totalise aujourd’hui 8 épisodes.  Dès sa sortie, Wipeout rencontre un grand succès, cependant c’est le second épisode Wipeout 2097, qui restera comme l’essence véritable de la série. En effet il corrige les erreurs de jeunesse et améliore grandement le gameplay et la fluidité du jeu.

Les raisons du succès

Wipeout renouvelle le genre en proposant un jeu en 3D temps réel, rapide et fluide. Sa réalisation technique est exemplaire. A ce point que Wipeout reste la vitrine technologique pour Sony et sa Playstation. Il démontre à chaque fois les capacité 3D des consoles de Sony.

Wipeout c’est également une expérience de jeu unique qui se base sur une aérodynamique, un design et une bande son originaux et de qualité.

En ce qui concerne l’aérodynamique ou la physique des engins, c’est le seul jeu qui vous demande de gérer la position du nez de l’appareil. Lorsqu’il est levé l’engin est ralenti et à l’inverse trop bas il rsique de frotter sur la piste 😉

Le design, que l’on doit à The Designers Republic, est exceptionnel et reste crédible même 10 ans après. Cette trainée bleu qui s’échappe progressivement du réacteur, ah lala mes bons amis ! J’étais litéralement scotché la première fois que j’ai joué à ce jeux. C’était beau et ça l’est encore !

La bande son était garnie par des artistes très en vogue de la scène électro du moment. Ainsi on se déchaînait sur fond de Prodigy, Chemical Brohers et autres Underworld… Cette ambiance cyberpunk electrifié faisait encore plus monté la pression et l’adrénaline.

Wipeout ça scotche !

Les épisodes

1. 1995 – Wipeout, la saga commence !
2. 1996 –  Wipeout 2097 / XL, le titre emblématique qui participa au succès de la Playstation.
3. 1998 – WipEout 64, la version Nintendo 64, qui sera le seul jeu de Psygnosis sur cette console.
4. 1999 – Wip3pout, l’épisode se passe en 2116 sur les circuits de la F7200.  A noter l’affiche HD sur la petite Playsation de l’époque
5. 2002 – WipEout Fusion, l’épisode se passe en 2160 sur les circuits de la F9000. Il décevra les joueurs de la PS2  à cause de son moteur physique qui collent un peu trop les vaisseaux à la route.
6. 2005 – WipEout Pure, version pour la PSP, l’action se déroule des décennies après la F9000 cette fois ce sont des amateurs regroupés au seing de la FX300 qui se tirent la bourre.
7. 2007 – WipEout Pulse, les circuits de la FX400 sont  encore plus fou  et toujours sur PSP.
8. 2008 – WipEout HD, dernier opus sorti sur PS3, l’action se déroule en 2206 et surtout en HD ! C’est beauuuu 🙂

Conclusion

Wipeout est le titre phare sur Playsation, sans lui la console perd une partie de son âme. Il en va de même de Lara Croft.  Le titre a su s’adapter aux nouvelles exigences des joueurs et rester un titre incontournable dans toute ludothèque.

La série depuis 10 ans n’a que très peu évolué et à force les joueurs se las et ne tissent plus le même affecte. Il reste une formidable vitrine technologique, mais n’est ce pas ce qui le conduit de plus en plus vers la mise au placard ?

D’un point de vue général, Wipeout a marqué les petits gamers que nous étions. Il a remisé au placard tous ce que nous avions vu précédemment. F-Zero prenant à cet instant une véritable claque. Cette bande son et cette sensation de vitesse, c’est simple c’est l’un des rares jeux où je pousse des cris tant j’ai l’impression que mon canapé s’envole.

Wipeout 2097 restera pour moi l’expérience extrême du jeu de course.

Gravibounce est un jeu de plate-forme qui mêle à la fois agilité et réflexion.

Dans ce jeu, vous dirigez boule attirée par de multiples champs magnétiques. Votre objectif est de récolter toutes les petites sphères d’énergie pour passer au niveau supérieur.

Vous contrôlez votre balle à l’aide des touches WASD ou des touches fléchées.

• Une flèche simple pour un petit bond,
• une flèche double pour exécuter un gros bond.

Votre environnement agit aussi sur vous déplacements. Ainsi, le halo lumineux vous permettra de réaliser une inversion gravitationnelle.

Attention, si vous tombez au-delà des plate-formes vous perdez la partie. Là où ce jeu ce démarque, c’est certainement dans le fait que le plus petit mouvement compte… Vous devrez donc faire preuve de beaucoup de patience.

A chaque rebond vous perdez des points il faut donc agir efficacement pour être bien classé. C’est dans tout ces petits détails qui font de Gravibounce un jeu amusant auquel on revient régulièrement. Graphiquement propre et sympathique, il exploite à fond sa mixité plateforme/puzzle.

Jouer à Gravibounce

Aujourd’hui, crise économique oblige, un jeu bien fun pour se retrouver de l’autre coté du miroir et jouer au méchant patron. Développé par Tiltfactor  et l’institue de technologie Rochester, Layoffs mêle avec brio, l’univers du casual game et réalité.

Le but du jeu est très simple. Vous vous retrouvez à la direction d’une entreprise et pour ne pas mettre la clé sous la porte vous n’avez plus qu’une seule solution : un plan social. En clair, vous devez virer les plus fainéants afin d’augmenter l’efficacité de votre société et mettre à la place des financiers et des banquiers.

A la manière d’un Tetris, vous devrez aligner vos employés pour les licencier. Rien de révolutionnaire.

Layoffs est un jeu à l’humour noir (bon c’est vrai c’est pas très sympa de virer des pauvres gens mais ça finit pas devenir marrant) mais terriblement efficace. Je trouve que ça ressemble fort à Trillion Dollar Bailout où il faut distribuer de l’argent pour sauver les propriétaires en détresse et récompenser ou punir les patrons. Mais ce n’est que mon avis !

Dans le contexte social actuel, ce jeu cristalise assez bien une certaine vision du monde financer et ses dérives.  Mais ce n’est pas le propos ici. C’est un jeu et celà ne doit pas être un moyen de s’insurger. La crise c’est mieux de la prendre côté sourire non ?

Le site rame un peu, le succès à l’air d’être au rendez vous 🙂

Jouer à LAYOFF

Avec Tiny Trials ce n’est pas « un » mais « plusieurs » jeux que je vous propose.

En effet à la manière d’un « cérébral » ou d’un wario ware sur DS/Wii, il s’agira pour vous, de résoudre différents casse-têtes comme sortir de prison, rester en équilibre sur un ballon…

La manière dont vous réaliserez ces énigmes vont rapporteront des étoiles. Il est bon de savoir que même en cas d’échec vous gagnerait une étoile. Chacune de ces étoiles vont donneront des points qui seront transformés pour vous donner un pourcentage de réussite.

A n’importe quel moment il vous est possible de consulter le classement général est de comparer votre score (en pourcentage) avec les joueurs du monde entier 🙂

Côté monétisation le service est un exemple. La publicité est astucieusement placée entre 2 niveaux sans venir parasiter le gameplay et l’expérience utilisateur.

Tiny Trials est une très agréable surprise. Très captivant on y passerait bien la soirée juste pour atteindre la première place et se dire qu’il n’y a pas plus bon que nous…

Jouer à Tiny Trials

Les jeux télévisés on aime, mais encore plus sur le net. Les chaines l’ont bien compris et développent de plus en plus les jeux en ligne.

Tout le monde veut prendre sa place

• Éditeur : France Télévisions Interactive
• Inscription : gratuite
• Gains : le gagnant peut gagner jusqu’à 3 000 euros
• Parties en plus : l’internaute a droit à une partie par jour, renouvelée s’il arrive en finale. Mais il peut aussi acheter des packs  soit par sms soit par carte bancaire des packs contenant un certain nombre de parties (de 2 euros pour 3 parties à 30 euros pour 90 parties)

Comme à la télé, vous affronterez 5 autres joueurs sur des questions de culture générale, avec comme objectif de prendre la place du champion, d’où le titre de l’émission. Une particularité du jeu réside dans le fait que le champion conserve sa place d’émission en émission et cumule ses gains tant qu’il n’est pas vaincu par un challenger.

Le jeu est un véritable succès populaire et présente des statistiques impressionnantes : 350 000 visiteurs uniques et 3 millions de pages vues par jour. La clé de cette réussite: la gratuité du jeu et la possibilité de gagner des cadeaux quelque soit notre classement final.

Jouer à  » Tout le monde veut prendre sa place « 

Questions pour un champion

• Éditeur : France Télévisions Interactive
• Inscription : gratuite
• Gains : le grand gagnant peut gagner jusquà 1 500 euros. Pour les autres, il y a de nombreux prix de consolation ( t-shirt, bons d’achat, des places de cinéma, des parties gratuites…).
• Parties en plus : au moment de l’inscription, le joueur reçoit des parties gratuites qui vont lui permettre de profiter du jeu dans son intégralité. De plus, une partie gratuite est offerte quotidiennement sous réserve que le joueur n’ait plus de parties au moment de sa première connexion de la journée. Si le joueur n’a plus de parties, il faudra acheter un pack contenant un certain nombre de parties à jouer. Les tarifs varient de 2 euros (3 parties) à 50 euros (150 parties).

Quatre candidats sont en lice et doivent, lors de trois manches successives, répondre à des questions de culture générale. Le concurrent le moins performant est éliminé à la fin de chaque manche, et le gagnant est le candidat remportant la dernière manche.

Son audience  est certes plus faible que celle de  » Tout le monde veut prendre sa place  » (entre 4 000 et 14 000 visiteurs par jour), il reste néanmoins un pilier du groupe France Télévisions.

Jouer à  » Questions pour un champion « 

Fort Boyard

• Éditeur : France Télévisions Interactive
• Inscription : gratuite
• Gains : des jeux vidéos

Dans  » Père Fouras Universitas » vous devez répondre aux questions et énigmes que vous pose le père Fouras (figure emblématique du jeu) et cela dans un temps limité. Avant de pouvoir accéder à sa tour, il vous faudra 5 niveaux dans lesquels vous seront proposées différentes épreuves. Chaque victoire vous ferra gagner un certain nombre de points. A la fin des 5 épreuves, vous obtenez un score global. Si celui-ci figure parmis les 100 premiers scores de la semaine, vous accèderez à l’épreuve finale face au père Fouras.

On s’attendait mieux de la part de l’éditeur et d’ailleurs les statistiques le prouvent. On est bien loin derrière  » Tout le monde veut prendre sa place  » et  » Questions pour un champion  » au niveau des audiences. Le jeu, même s’il reste intéressant, n’est pas vraiment représentatif de l’esprit du jeu télévisé. Copie à revoir !

Pour jouer à  » Fort Boyard « 

Il n’y a pas que France Télévisions qui souhaite profiter à la fois du succès de ses émissions et du boom du web. En effet, TF1 a aussi développé les jeux en ligne depuis 2001.

A prendre ou à laisser

• Editeur : e-TF1
• Inscription : gratuite
• Gains : on peut gagner jusqu’à 10 000 euros
• Parties en plus : vous pouvez d’acheter des parties supplémentaire par simple sms ou par carte bancaires. Les tarifs vont de 2 parties pour 1 euros à 50 parties pour 10 euros.

Au début du jeu, vous devez choisir la boite avec laquelle vous aller jouer toute la partie. Puis, vous devrez éliminer une à une toutes les boites restantes. Vous perdez automatiquement le contenu des boites que vous éliminerez. A tout moment vous pouvez recevoir un cout de téléphone de la banque qui vous proposera d’échanger votre boite.

La version en ligne du jeu  » A prendre ou à laisser  » est une belle réussite. Dommage qu’il n’y ait pas plus de parties gratuites au moment de l’inscription. De plus il est possible d’y accéder à partir de son téléphone portable.

Jouer à  » A prendre où à laisser « 

Qui veut gagner des millions ?

• Éditeur : e-TF1
• Inscription : la partie d’essai est à 0,56 euros. Le vendredi de 12h à14h vous bénéficiez de parties gratuites.
• Gains : lot de 1 500 euros attribué par tirage au sort parmi les joueurs ayant répondu aux 15 questions.

Le jeu consiste à donner la bonne réponse le plus rapidement à une série de 15 questions de culture générale. Chaque question apparaît avec 4 réponses possibles. Vous disposez d’un temps limité pour sélectionner la bonne réponse, donner votre dernier mot à Jean Pierre.

Aucun partie gratuite… C’est bien dommage.

Jouer à  » Qui veut gagner des millions ? « 

Conclusion

De nombreux jeux en ligne dérivés des différentes émissions de TF1 sont disponibles sur leur site web ( » La roue tourne « ,  » Une famille en or « ,  » Attention à la marche « , ….). Cependant la majorité d’entre eux sont payants (0,56 euros) ! Alors…des radins chez TF1 ?

Seul M6 ne s’est pas lancer dans la course des derivés online de ses émissions TV. Facilement compréhensible quand on sait que les émissions phares du moment sont  » La nouvelle star  » ou  » Un diner presque parfait  » !

Reste que ces adaptations, pas toujours exceptionnelles, font de l’audience et prolonge le lien avec les téléspectateur. Elle ne  propose  pas de contenu additionnel et se cantonne à la transposition dans le navigateur de leur règle du jeu.  Les stratégie divergent également. TF1 firme du cerveau disponible et du SMS, nous rejoue la même mélodie en ligne. M6 est le grand absent pour l’instant. Quant à France Télévision, elle a su tirer vers le haut ce petit tour d’horizon en proposant des activités immersives et d’une qualité correcte.

Mise à jour du 23/03/2009

Simon Saulay de Silicon Carne, nous a contacté et apporté quelques précisions:

Je tenais à vous informer de quelques  points qui pourraient vous intéresser :

– il s’agit bien d’une toute nouvelle version pour Questions pour un Champion vu que celle-ci est en ligne depuis le 11 mars seulement. Cette nouvelle version permet notamment contrairement à la version précédente de jouer en direct et en multijoueur.

– nous avons aussi mis en place cet été (toujours en collaboration avec France Télévision Interactive) une version du jeu télé « 4eme duel » qui permet aussi d’affronter gratuitement des joueurs en direct.

Réalisé par Delphine Software en 1992, Flashback s’est de suite imposé comme LA référence du jeu d’action/aventure. Fort d’un scénario et d’une réalisation impeccable, il a conquit les joueurs du monde entier.

Le jeu s’inspire du gameplay de Prince of persia transposé dans un monde futriste. Il reprend l’affichage 2d de profil et un rendu réaliste des mouvements.  La scénarisation de l’action et l’insertion de cinématiques inscrivent Flashback directement dans la lignée d’Another World (lui aussi réalisé par Delphine Software).

Le jeu a été diffusé sur Mega Drive (surtout), Super Nintendo, Amiga, PC-DOS et Mega-CD. Dans ces deux dernières on a le droit à des cinématiques plus jolies, des voies dans le jeu et des musiques de meilleures qualités.

A noter que Flashback a été pendant un certains temps le jeu vidéo français le plus vendu dans le monde. Des lapins débiles l’ont détrônés depuis. Mais ça c’est une autre histoire 😉

Histoire

En 2142, le joueur incarne un chercheur Conrad B. Hart, qui découvre l’existence d’entités extra-terrestres infiltrées au sein de la population. Ces dernières le kidnappent et lui effacent la mémoire ; il réussit malgré tout à s’enfuir mais atterrit en catastrophe sur un satellite de Saturne, Titan.

Le jeu commence à ce moment, où le joueur doit affronter les dangers de la jungle. Il doit tout faire pour déjouer ce complot planétaire.

Source Wikipedia

Gameplay

On vous parle d’un temps où la folie de la 3D n’existait pas encore (ou très peu). La 2D de profile était le standard absolu depuis Donkey Kong en passant par Mario et autres hérisson bleu.

Flashback s’inscrit donc dans cette catégorie de jeu. Mais il se distinguait par la gestion des contrôles du personnage. Là où Mario ou Sonic était clairement typé arcade avec des réactions rapides, Conrad réagissait avec réalisme. Les sauts étaient par exemple marqué par un temps de latence , lorsque vous couriez votre arrêt n’était pas immédiat. La jouabilité était exceptionnelle, le panel de mouvements riche : marcher, courrir, sauter, s’accroupir, faire des roulades, utiliser des objets sur la scène et de son inventaire, sortir un pistolet, faire feu…

Flashback demandait beaucoup de réflexion, votre personnage n’est pas armé comme une bête de guerre. Il fallait ruser et utiliser l’effet de surprise. L’intelligence des ennemis était poussée pour l’époque. Lorsque vous jetiez un caillou, un gardien s’en rendait compte et se dirigeait vers la source du « bruit ». Vous pouviez ainsi le surprendre et l’abattre.

Vous remarquerez d’ailleur dans la vidéo que je me suis un peu perdu dès le premier tableau. Saleté de sentinelles 🙁

Celà m’amène à vous parler des sauvegardes. Bon c’est une mega drive et à l’époque la sauvegarde c’est pour les faibles du paddle. On ne pouvait pas enregistrer quand on le voulait. Au mileu d’un niveau ou avant une séquence délicate on avait des terminaux qui permettaient de stocker sa position dans le jeu. Mais cette position était détruite lors de l’extinction de la console… Ah ah dommage 😉

En revanche, on avait le droit au début de chaque niveau à un code. Ce qui permettait de reprendre sa partie au début d’un niveau donné. Les codes variaient en fonction de la difficulté et de la langue sélectionnées.

Mon avis

Encore aujourd’hui Flashback malgrès ces 17 ans, détrône bon nombre de jeux de plateforme (même nextgen), tant son scénario est captivant. Son gameplay et ses graphismes rétro, restent au goût du jour. Flashback est une aventure unique que tout gamer devrait avoir vécue. L’ambiance cyberpub sur fond de conspiration gouvernementale propose une dystopia d’une société futur probable. On rescent clairement les influences Blade Runner.

J’étais à peine ado quand j’ai joué pour la première fois à ce jeux. Il m’a captivé et j’en garde un souvenir marquant. Plus que les première parties dans le noir de Resident Evil. C’était un jeu à la difficulté très bien gérer, qui avait une durée de vie longue. C’était le premier jeu où je me suis réellement fait embarquer dans une aventure vidéoludique immersive et forte. Ce scénario m’a ouvert l’esprit vers les créations cyberpunks de l’époque.

« Fade to black » sortie en 1995 est la suite de Flashback. Malgré des avancés techniques comme l’introduction de 3D vectoriel et de  rendu en raycasting, cette épisode se démarquait trop du premier. Les critiques lui repreochèrent ces changements et cette fracture avec le premier épisode.

Flashback fait parti de ces jeux qu’il convient peut être de laisser sans suite, au risque d’être déçu. Je regrette personnellement qu’aucun acteur ne pense à reprendre cette licence en respectant le gameplay de l’époque mais surtout la profondeur scénaristique.

Ressources

• la page web de Ramal : une démo jouable peut être trouvée sur le site de cet ancien programmeur de Flashback.
• Réminiscence : Une version réécrite du moteur du jeu ( nécessite le jeu en PC-DOS ou Amiga)
• Le pack joueronline (émulateur + rom) pour jouer à Flashback

Music Catch 2 est la suite du jeu Music Catch développé par l’éditeur Reflexive Entertainment.

Dans ce jeu, vous devez attraper des formes colorées qui apparaissent lorsque la musique joue. Plus vous récolterez de fromes plus vous gagnerez de points.

Chaque couleur a sa signification :

• les formes bleues et vertes vous font gagner des points
• les formes jaunes augmentent la taille du curseur de votre souris, vous permettant de récolter plus de formes.
• les formes rouges sont à éviter car elles vous ferrons perdre des points.
• les formes violettes (plus rares) vous permettent de récolter à la manière d’un aspirateur toutes les formes.

Le jeu offre la possibilité de jouer avec ses propres formes, motifs que l’on débloque au cours de la partie. Vous pourrez aussi mettre votre propre musique en ambiance sonore.

Le gameplay est entièrement à la souris et très agréable, malgrès la soupe constante de notes et de formes affichée à l’écran le tout reste très lisible. C’est un jeu facile, et le challenge est très accessible. Mais son objectif n’est pas de vous torturer, mais de vous apporter un moment de fraîcheur et de poésie.

Les musiques par défaut sont vraiment magnifiques et apportent une vraie touche poétique à l’expérience de jeu. Bref comme dirait l’autre « un moment de douceur dans un monde de brute« .

Jouer à Music Catch 2