Jouer-Online Blog

Le monde du jeu en ligne
juin 11, 2009

Scary Girl la version finale

Author: Thierry S. - Categories: Actualité, Jeux - Tags: , , , , , ,

Scary Girl

Je vous avais parlé de Scary Girl en Avril,  pour rappel :

Scary Girl est un excellent jeu d’aventure et de plateforme produit par Passion Pictures Australia, Touchmypixel, Renmotion et Film Victoria sous la direction artistique et conceptuel de Nathan Jurevicius.

Vous y incarnez une petite fille dans un de ses délires d’imagination. Elle évolue dans un monde imaginaire accompagné de Blister, une pieuvre qui fait office d’ange gardien.

Eh bien à l’poque c’était un peu buggy, et le gameplay était un peu mou du genou. Désormais publié de manière officiel, beaucoup de bugs ont été corrigé, mais les contrôles reste un peu plat et imprécis. Mais ce n’est que du détail tant l’expérience du joueur est grande.

Allé mes petits amis, allez vous amuser/rêver avec Scary Girl.

Jouer à Scary Girl

Little Wheel

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , ,

Little Wheel

Petite merveille du studio One Click Dog, Little Wheel vous embarque dans une aventure en point and click, ravissante et jazzy.

Dans un monde peuplé de robots et auto suffisant tout va bien, le moindre petit roulement jusqu’au plus petit engrenage tourne en paix et dans la plus grande harmonie. Jusqu’au jour où un incident vient à stopper net l’unique générateur d’énergie de la planète. Tout le monde robot sombre dans la létargie et le sommeil. 10 000 années s’écoulent où vous, petit robot sentinel, êtes foudroyé et réanimé.

Vous comprenez de suite ce qu’il faut faire : remettre ce satané générateur en route.

Little Wheel ne vous proposera pas des énigmes capilotractées. Le jeu est facile et même un peu court. On le termine en un peu moins de 10 minutes. Mais son intérêt n’est pas dans le défi, mais dans son pouvoir de séduction. Vous êtes  comme hypnotisé. L’esthétisme particulier en noir et fond jauni et la musique jazzy rendent le tout très classe et beau. C’est sans compté sur la qualité des animations, elles sont de grande qualité et se situent à la limite d’un dessin animé.

On en soupire presqu’à la fin du jeu un « encore ! ». Pour ma part, je situe plus Little Wheel comme une histoire interactive à découvrir et à partager. Il est plus un moment de merveilleux dans votre quotidien parfois trop laborieux. Cette oeuvre refait surgir en nous l’enfant qui se délecte d’histoires fantastiques et merveilleuses.

S’émerveiller, Jouer à Little Wheel.

juin 10, 2009

25 ans de Tetris.

Author: Thierry S. - Categories: L'instant rétro - Tags: , , , ,

Un quart de siècle plus tard, Tetris reste indémodable.  Jeu le plus vendu, adpaté de tous les temps, les tetrinos sont entrés jusque dans la déco de votre sallon. Nombreux sont les meubles qui s’emboitent à leurs manières 😉

Tetris c’est le symbole de toute une génération de gamins élevés aux gros pixels qui ont découvert les premiers bidules numériques. Les pioniers de ce qu’on appelle aujourd’hui les digitals natives.

Merci à Alexey Pajitnov qui a partagé avec nous tous, son petit programme, conçu pour se distraire pendant ses longues heures à l’Académie soviétique des sciences.

Première sortie en 1985  sur IBM et Electronica 60, ce n’est qu’avec les 35 millions d’exemplaires vendu sur Game Boy que le jeu est devenu un culte de toute ma génération.

Tetris est cool, universel et surtout intemporel.

Joyeux Tetriversaire !

juin 9, 2009

The pretender : part one

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , , , , , , ,

The Pretender : part one

Sous la houlette de Time Knauf et Tristan Clark et des graphismes de Vin Rowe, le studio Launching Pad nous propose un superbe jeu de réflexion.

Le jeu est encore en développement, il s’agit d’une version bêta du jeu. Quelques bugs subsistent, mais à mon sens c’est déjà jouable et prêt à être mis sous les feux de la rampe.

On incarne donc un magicien en pleine Angleterre Victorienne. Pendant un show, il se lance dans une incantation spectaculaire : l’ouverture d’une porte vers un monde paralèlle. Mais tout se passe mal et tous vos spectateurs sont aspirés dans cette dimension paralèlle et transformés en fantômes… Bravo l’artiste ! Votre quête consiste à les récupérer tous. Voilà pour l’histoire, qui a le mérite d’être un poil original.

L’ensemble des graphismes reprenne un style très art déco, et sont vraiment superbement réalisés. Mais le jeu ne brille pas que par ses graphismes. La musique et les effets sonores sont vraiment sympathiques et finement dosés.

Durant chaque tableau vous devrez rramener chaque fantôme dans notre dimension. On découvre rapidement que notre magicien n’est pas sorti indemne de sa téléportation. Au contact de certaines pierres magiques, il se transforme et prend pocession des pouvoirs de l’air ou de la terre.

Avec les pouvois de l’air vous devenez transparent et léger comme … l’air. Vous pouvez également lancer des bourasque de vent. Avec la terre, vous devenez une sorte de Golem ultra balèze qui peut fracasser n’importe quel obstacle sur son passage.

Vous devrez donc au grès des tableaux, réussir à atteindre tous les malheureux spectateurs, en usant de vos nouveau pouvoir tout en trouvant la bonne combinaison d’action (un bouton restart est prêt en cas de besoin).

La jeu a été conçu pour être accessible et la difficulté est savament dosée pour que franchir les niveaux soient un réel plaisir. Même si ça reste un peu simple pour des joueurs plus avertis., ce jeu est une réussite. Ce qui est intéressant est l’insertion de dialogue, celà donne une profondeur au mode histoire, qui pour une fois ne se limite pas à une excuse pour vous coller une succession de niveaux.

The pretender : Part One, sera une saga riche et plaisante. Son scénario laisse libre cours à l’imagination et permet d’entrevoir des déclinaison de ce premier opus plus étranges et d’avantage capilotractées ou pas 🙂 Vivement la suite !

Jouer à The Pretender: Part One!

juin 8, 2009

Vector Boom

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , , , ,

Vector Boom

Si l’espace est synonyme de silence, calme et immensité et bien Vector Boom d’Hero Intercative va vous prouver le contraire.

Ce tower defense, prend place dans l’univers et vous devrez faire face à des hordes d’ennemis. Votre station orbital armée d’un méga canon et par la suite de tourelles, ferons feu de toute part.

Pas très novateur dans le concept, le jeu brille par son gameplay. Via un système de clic maintenu, vous pourrez tracer la zone de dévastation de vos impulsions électro-magnétiques.

Plus la zone est grande plus le tir consommera d’énergie. C’est un système très agréable et ergonomique pour shooter soit rapidement des petits ennemis soit détruire une vague complète de vaisseaux.

Tout le coeur de la stratégie est là. Il faut bien doser la puissance de vos tirs pour ne pas se retrouver les batteries à plats et manger du missile à tout va. Comme toujours dans ce type de jeu, plus on atomise avec précision, plus on amasse d’argent pour améliorer sa station.

Le jeu est sympathique mais les premiers niveaux vraiment trop simples. Le challenge met un peu de temps à s’installer. C’ets dommage car demander à un joueur de persévérer pour s’amuser, n’est pas une très bonen stratégie. Et puis les joueurs un peu mauvais (comme moi),  risque de ne pas comprendre cette soudaine augmentation dans la difficulté.

Jouer à Vector Boom.

juin 5, 2009

Go Home Ball

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Go Home Ball

Bon c’est la grande mode des jeux de physique où on doit se tordre les méninges pour monter un truc bidule tout complexe capilotracté. Et vous en avez un peu marre de ces jeux, et bien Go Home Ball est un jeu de gestion physique, mais allégé en sucre !

Oui mon bon monsieur, là le ciricuit est tout tracé, il « suffit » de placer des objets (rondins, trmpoline), pour faire rouler la boule rouge jusqu’à l’arrivé jusqu’à l’arrivé et en récoltant toutes les étoiles.  C’est une sorte de jeux de gestion physique avec des trous à remplir 🙂

Le design mignon, la petite musique et tout, on se croirait dans un jeu pour mamie fan de Wii Bowling. Et bien non, ce jeu est juste super difficile.

  1. les objets qui bouche les trous ont une durée de vie de quelques secondes,
  2. vous ne pouvez avoir qu’un objet à la fois,
  3. les réactions de balle sont capricieuses ,
  4. un gameplay un peu lourd,
  5. les niveaux deviennent carrément complexe (meurt niveau 8, meurt !),
  6. il y’a un compte à rebours à chaque noveau,
  7. si vous n’avez plus de point vous recommencez le niveau…

Bref autant  de points qui rendent le jeu compliqué d’accès et qui nécessite d’avoir de très bons réflexes.

Je vas d’abord parler du gameplay. Je trouve absurde de devoir switcher de la souris, au clavier. Encore pour la rotation c’est bien vue, mais pour déclencher le ressort… Je suis moins fan. Bon les goûts et les couleurs, mais là c’est quand même un peu lourdingue.

Deuxième grief, les réactions de la balle sont étranges… Par exemple quand vous pousser la balle avec la main, et bien quand elle est arrêtée, elle est figée au sol… Quand elle cogne un obstacle, elle ne rebondit pas… Bref ça fait un peu tâche.

Cependant reconnaissons à ce jeu, une vrai volonté d’apporter un nouveau système de gestion des réactions physiques. Go Home Ball ravira sans doute les joueurs les plus agile, mais fera certainement enragé le plus grand nombre, c’est peut être là tout l’intérêt.

Jouer à Go Home Ball

juin 4, 2009

Plumet

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Plumet

Plumet fait parti de ces jeux tout con et pourtant si attachant. Je l’ai découvert aux hasard de mon butinage quotidien et j’ai accroché de suite.

Je ne sais pas trop comment l’expliquer. Plumet charme dans ses détails qui montrent bien que derrière un gameplay rudimentaire (descendre le plus vite possible des plateformes sans se faire écraser) il y’a eu un vrai soin dans la réalisation.

Oui c’est de qualité même si le jeu paraît ridicule. En premier la bande son est un loop dance rythmé et kitch qui entraîne et apporte une ambiance rigolote.

Ensuite l’animation du personnage est complète et réactive.Il cours, s’arrête, agite les bras quand il tombe longtemps. Les contrôles sont rapides et bien fait, on s’éclate tout de suite.

La difficulté est réellement bien gérée malgré un système de tirage aléatoire des plateformes. On a toujours la même progression. Ce qui est agréable pour revenir au jeu pour améliorer son score.

Plumet c’est un petit jeu pour la pause café, à partager avec ses potes ou ses collègues de bureau. J’ai déjà réussi à pourrir la journées de mes collègues et vous ?

Jouer à Plumet.

juin 3, 2009

Monkey Island saga d’hier, d’aujourd’hui et de demain

Author: Thierry S. - Categories: L'instant rétro - Tags: , , , ,

Monkey Island

Série cultissime, l’aventure Monkey Island édité par Lucas Art  débute en 1990 et compte à ce jour 4 épisodes :

  • The Secret of Monkey Island (1990, Amiga, PC, Atari ST, Mega-CD)
  • Monkey Island 2: LeChuck’s Revenge (1992, Amiga, PC, Mac)
  • The Curse of Monkey Island (1997, PC, Mac)
  • Escape from Monkey Island (2000, PC, Mac, PS2)

Source Wikipedia.

Monkey Island a posé les fondamentaux des jeux d’aventure actuels et ont réellement fait leur petite révolution à l’époque. Ce succès s’explique par plusieurs facteurs :

  1. les graphismes étaient fabuleux pour l’époque, une mention spéciale au 2e épisode réalisé comme un véritable dessin animé interactif en 256 couleurs (la full hd de l’époque en gros),
  2. le scénario et l’humour super efficaces de la série rendaient le jeu vraiment très très attachant,
  3. le système de jeu novateur, SCUMM, qui nous faisait cliquer sur un verbe (une action) puis sur un objet pour déclencher les opérations à l’écran, génial!

Et c’est avec ce dernier point, le système de jeu, que l’on peut réellement parler d’un avant et d’un après Monkey Island. Pour la première fois, il était impossible au joueur de se retrouver bloqué ou mort. Ainsi le joueur n’avait jamais à recommencer le jeu à partir d’une précédente sauvegarde, et ça c’est ultra confort. Ces deux concepts font aujourd’hui patie intégrante de tous les jeux d’aventure du actuels.

Les trois premiers épisodes se présentent sous la forme de point’n click. Ils sont géniaux et je n’ai jamais pu retrouver le même fun avec un autre jeu du genre.

A partir du 4e épisode, les concepteurs abandonnèrent la souris au profit de la 3D, j’ai décroché à partir de cette transition. Le fait que le 4e épisode ce soit fait sans l’aval du père fondateur de la série Ron Gilbert n’y est pas étranger. Quelque chose a été perdu en cours de route, la magie peut être.

Véritable histoire interactive, il est délicat de résumer Monkey Island, donc on va tirer dans les grandes lignes.

En gros vous aider un pirate Guybrush Threepwood, qui veut devenir un pirate célèbre. Ses aventures le conduiront de l’Ile de Mélée à la mystérieuse Ile au Singe. Dans le premier épisode vous irez sauver votre bien aimée, dans le second vous deverez affronter votre plus féroce adversaire. Mais tout ça ne donne pas une bonne idée de la profondeur de ce jeu et tout ce qui fait de Monkey Island  un jeu mythique.

Voici la solution complète du premier opus en vidéo, ça vous replongera dans l’ambiance mes petits amis :

En pleine fièvre de l’E3, il y’a eu une annonce qui m’a émue. Lucas Art a annoncé 2 nouveaux épisodes :

  • The Secret of Monkey Island: Special Edition (2009, PC, XBOX 360)
  • Tales of Monkey Island (2009, PC, Wiiware)

Le premier est une réadapatation complète du titre aux goûts du jour. C’est grâce à la forte demande des joueurs, que ce projet a vu le jour. Il a été prévu de satisfaire les amateurs des versions orginales comme les nouveaux venus. Ca va être vraiment funky 🙂

Plus d’infos sur le site officiel de The Secret of Monkey Island: Special Edition.

Le second sera un approfondissement des aventure de Guybrush , et nous propose pas moins de 5 nouvelles aventures sur Wii ou PC, ça aussi ça va être groovy.

Plus d’info sur le site officiel de Tales of Moneky Island.

Pour conclure cet instant rétro, je dirais que j’ai beaucoup d’attente vis à vis de ces 2 nouveaux épisodes. J’espère que la magie va opérer et que Monkey Island ne sombre pas dans un remake fumeux. Cette licence est mythique pour beaucoup de joueurs.

A l’abordage mes petits moussaillons !

Quelques liens pour creuser d’avantage

juin 2, 2009

ClickPlay!, cliquez avec un doigt !

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Clickplay

Ninjadoodle revient avec un jeu de réflexes et de rapidité comme on les aime. A l’instar de  Cursor Chaos, le jeu vous propose d’enchaîner à un rythme effrainé  les épreuves.

Cette fois le gameplay se fait entièrement à la souris. Il faudra à chaque fois trouver le moyen de franchir le niveau en faisant le moins de clics possibles. Et c’est vraiment pas facile. La chance aura parfois son mot à dire, mais c’est surtout votre agilité et votre sagacité qui seront vos meilleurs alliés.

Dans la même veine que Hoshi Saga ! mais avec l’esprit de  Cursor Chaos en plus, le jeu est très efficace et addictif dès les premières secondes. Le thème musicale entêtant et obsédant vous motive et vous donne envie de poursuivre. C’est rigolo, frais et pourtant tout en nuance de gris. Comme quoi joie et amusement ne passe pas forcément par l’utilisation d’un design aux couleurs saturées.

D’origine japonaise, et dans un style très épuré ce jeu de réflexion et d’agilité cérébrale et une réussite, vous n’êtes pas prêt de relâcher votre souris de si tôt !

C’est moi où le jeu fait echo à deux célbres licence de Big N. Warioware et WiiPlay ? Enfin bref  je dis ça je dis rien hein 🙂

Toi aussi tu veux cliquer ton butt, va jouer à ClickPlay!


mai 29, 2009

Chup

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , ,

Chup

Vous rêvez de devenir un barile en métal et vivre d’incroyable aventure ?  Hum moi non plus et pourtant c’est ce que nous propose Chup.

Chup est un jeu de plateforme au look très rétro, on le croirait sorti directement d’un Atari ST. On pourrait en dire qu’il est une sorte de retour vers la pointe de l’avenir du futur du jeu de plateforme. (Je devais placer cette expression, pari stupide quand tu nous tiens).

Pour faire évoluer le personnage au gré des niveaux, on dispose de deux type de contrôles. Première les mouvements, on se déplace grâce au classique [WASD] ou [touches fléchées]. Deuxièment les sauts, ils sont contrôlés grâce à la souris. Dans un premier temps on maintient le bouton gauche enfoncé. Une courbe s’affiche et on peut ainsi définir l’angle et la distance du saut en déplaçant le pointeur.

Ce contrôle du saut est judicieux. En effet, on doit rapidement utiliser les rebonds contre les rebords et cette grande précision dans le saut, apporte un confort non négligeable pour le franchissement des plateformes.

Pour gonfler votre score, il faudra récolter rapidement le maximum de pièces en un minimum de temps et en un minimum de sauts. Mais ça c’est valable uniquement si vous réussissez à atteindre l’espèce de portail de téléportation vert entre les niveaux.

Passé les 4 premiers niveau, la difficulté devient importante sans pour autant rendre le jeu impossible à achever (oui dans la vidéo je passe pas le niveau 5 et alors ? :p). Le jeu donne vraiment du fil à retordre et frustre juste ce qu’il faut le joueur pour le titiller dans sa fierté.  Et c’est là sans doute sa qualité. Chup reprend au rétrogaming son graphisme et surtout la pureté du gameplay.

Chup c’est une expérience unique de plateforme, à tester et à apprécier à sa juste valeur.

Chuper, hum,  Jouer à Chup.