Le développement d’un MMORPG est une tâche très difficile pour toute équipe, bien plus encore lorsque celle ci est constituée de développeurs bénévoles disséminés au travers de toute la planète.
Il s’agit d’un Google Tech Talk, que je vous propose, avec Keith Fulton, architecte du projet PlaneShift. Planeshift a été lancé en 2001 et compte aujourd’hui plus de 500 000 membres. Le jeu est entièrement codé en C++ et distribué sous licence GPL.
Un weekend un peu cour mais calme, du coup cette fois, je vous livre en temps et en heure un filet garni de jeux frais, variés et sympa.
Les jeux c’est comme les fruit et les légumes c’est 5 par jours au minimum !
Un jeu d’arcade sympa où on incarne un petit calamar dont le père n’est autre que le gros méchant Krachen. Pour prouver votre bravoure à votre petit papa chéri, vous vous lancez à la recherche de la si précieuse couronne de corail. Voilà pour l’histoire.
Le but du jeu est de manger du plancton en le faisant disparaître dans un nuage d’encre. Ca se joue à la souris, le personnage suit vos mouvements et lorsque vous cliquez plus ou moins loin, du personnage, vous expulsez nuage d’encre plus ou moins grand.
C’est mon petit préféré du week end, j’avais envie d’un jeu « moi voir moi tuer ». Seul perdu dans l’océan dans votre tour de défense, dans la plus pure tradition de l’arcade, vous devrez détruire toutes les vagues ennemis. Entre chaque vague, vous pourrez réparer et améliorer votre engin de destruction. La visée à la souris et les armes sur la barre d’espace et sur le bouton de la souris, sont confortables et très réactifs. Les attaques spéciales valent le détour, ma préférée le bombardement 🙂
Après s’être excité comme un petit fou sur ma souris, je me suis détendu avec ce jeu de puzzle. Le fait que le puzzle fonctionne sous la forme de cercle est un peu plus compliqué (mais pas trop). La difficulté est bien dosée et on se prend au jeu de vouloir reprendre les puzzles pour les résoudre toujours plus rapidement.
Ce jeu est un véritable R-Type microbien. J’ai adoré Microbe Kombat et je suis un fan de shoot’em up. Au début la combinaison des touches est un peu complexe à prendre en main. On trébuche souvent entre le S pour avaler et le D pour tirer. Mais une fois le coup de main pris, on avale tout ce qui se passe.
Bon cette semaine je ne vous ai pas fait la traditionnelle sélection du week end. Pour me faire pardonner je vous ai préparé une petite sélection de jeux simple et marrant et qui vous feront patienter jusqu’à l’arrivé du sacre saint week-end !
Vous avez adoré le Domino day et les Incredible Machine, ce jeu est fait pour vous, positionner vos dominos et faites les chuter. Ce jeu m’a de suite refait pensé à la scène dans Vendetta des dominos. Dommage qu’il n’y ai qu’une seule couleur de domino disponible.
On va se la faire bref, pongout c’est jouer à pong en même temps qu’à break out (casse brique). Oui en même temps, quand vous bougez votre souris, vous manipulez les 2 paddle en même temps. Amis octopus désynchronisés, le mode hard est pour vous. Moi je tiens pas plus de 7 secondes en easy.
Cette production du studio Hidden Ninja est une sorte de free line rider, mais cette fois avec un Ninja qui tourne dans une boule. Une petite vidéo pour voir ce que ça donne sur le premier level. Dès le 2e niveau ça se corse 😉
Un jeu d’adresse, donc pas fait pour moi. Je vous laisse découvrir le jeu et son ambiance ultra punchy/funky dans ce screencast. C’est moi qui joue et je suis ultra mauvais 😉 Mais j’adore.
Allé à Lundi et bon week-end !
Yahoo a publié comme chaque année les 10 requêtes les plus importantes de l’année. Et surprise il y’a un MMORPG dans cette liste. Vous pensez à World of Warcraft et bien non ! Il s’agit de RuneEscape, qui est jouable dans le navigateur. Cerise sur le gateau, on dispose d’un accès gratuit pour y jouer.
Techniquement vous aurez besoin de Java et ça à l’air vraiment bien sympa, même si esthétiquement ça ne vaut pas un WoW. La communauté semble très active (il y’a des centaines de fan sites, vidéos…). Nous ferons une revue plus poussée de ce jeu dans un article à part. Le petit trailer qui suit m’a donné envie de pousser un peu plus loin.
Top 10 des mots les plus recherchés sur Yahoo en 2008
RuneScape était cité dans un classement similaire du défunt Lycos, et sur l’année 2006. Autant dire que les anglais de Jagex concepteurs du jeu, ont dans leur catatlogue un best seller.
Voici un trailer court mais qui donne une rapide vision de ce que propose le jeu:
Dans les média c’est de nouveau le grand sujet à la mode : « les jeux vidéos rendent les enfants violents ». Notamment grâce à la campagne du gouvernement français contre les risques des enfants sur Internet. J’hésite toujours à donner mon avis, mais en tant que passionné, j’ai du mal à comprendre toute cette diabolisation.
On peut reprocher l’utilisation de clichés, il reste que je la trouve bien faite. Internet est certes un outils fantastique, dont il faut préserver sa liberté, et qui permet de rapprocher les individus plus rapidement qu’auparavant. Il y a dans nos société des prédateurs. Avec la démocratisation du médium on attire aussi cette partie de nos sociétés. Il faut donc bien prendre conscience des risques et il est du devoir des parents de suivre et d’éduquer leurs enfants à l’utilisation du médium (plus qu’au recours à de soit disant filtres parentaux). J’ai toujours penser que la meilleur façon d’inciter un enfant à faire quelque chose était de lui interdire.
Pour en revenir un peu à ces débats. A l’époque où je sirotais mon Nesquik devant Ken le survivant, les mêmes débats existaient à propos de ces émissions de télé. Puis se furent au tour des mangas, que l’on a décrié comme étant tous ultra-violent et sans intérêt… Je suis toujours sceptique, et à mon avis les excès/dérives/carnages proviennent surtout de problèmes sous-jacent plus complexes (fragilité psychologique, relations sociales catastrophiques, contextes familiaux complexes…).
Via kookyoo.net, et son point de vue sur la dépendance aux jeux vidéo, j’ai pris connaissance d’un rapport de la clinique Smith & Jones d’Amsterdam. Après avoir ouvert il y a deux ans un centre de traitement de la dépendance aux jeux vidéo, en voici la conclusion :
Selon Bakker, 90% des personnes dépendantes aux jeux vidéo qui ont séjourné dans sa clinique ne sont pas à proprement parler dépendants, mais victimes de problèmes sociaux qu’en meilleur encadrement des familles et éducateurs aurait pu prévenir.
Les 10% restants montrent quant à eux des prédispositions à la dépendance, envers la drogue ou l’alcool.
Pour une analyse plus poussé sur le sujet, je vous recommande la lecture de ces 2 articles du blog jeux vidéo de Fluctuat.net:
Maintenant un autre débat, un peu en annexe de celui-ci qui pointent son nez, autour des méthodes marketing de Dofus. Depuis sa création, en septembre 2004, le jeu vidéo Dofus, édité par la société Ankama Games, rencontre un véritable succès. A ce jour, plus de 10 millions de personnes se sont laissées tenter par ce jeu en ligne. Une immense réussite qui a déjà conduit la société à commercialiser des produits dérivés comme des mangas et des figurines. Dofus est pour rappel un MMORPG.
L’article pointe du doigt le fait, qu’Ankama se joue du contrôle parentale classique puisque l’enfant peut : télécharger le jeu gratuitement et payer son abonnement hebdomadaire via Allopass avec son téléphone portable. On accuse Ankama de ne pas mettre des moyens de recours pour que les parents se fassent rembourser. Question débile, vous demanderiez vous à votre buraliste de vous rembourser les clopes qu’aurait acheté votre progéniture dans votre dos ?
Je trouve ces propos plein d’inepties. La solution est simple : compte bloqué, on regarde la facture tous les mois avec son gosse et s’il achète un truc, il vous rembourse. Gérer un budget, ça s’apprend. Et si l’enfant a envie de jouer à Dofus qui est un jeu véritablement kidsafe et de très bonne qualité pourquoi pas, s’il préfère dépenser une partie de son argent de poche comme cela.
De toute manière on ne peut pas reprocher à Dofus d’essayer de profiter du marché du divertissement des enfants. Ils ont mis en place des moyens utilisables par les enfants, qui sont bien souvent plus à l’aise que leurs parents sur le web.
Cette obscurantisme et cette complaisance dans l’ignorance me fatigue, peut-être que je suis un digital addict ? 😉
Ah Dungeon Keeper ! Vous vous rappellez ? Créé par Peter Molineux, prolifique créateur de Black and White, Fable et de bien d’autres titre de la regrettée société Bullfrog a vraiment marqué mon expérience de joueur. Distribuer des baffes, être le grand méchant aux rennes d’une horde de monstres plus affreux les uns que les autres, quel plaisir. J’ai adoré !
Quel choc quand j’ai pris connaissance du communiqué de la société asiatique NetDragon. Elle vient d’annoncer qu’un jeu en ligne basé sur la licence Dungeon Keeper verrait prochainement le jour 🙂
On a le droit à peu d’informations et il semblerait que l’acquisition de la licence ne soit valable que pour la « Greater China region » (Chine, Hong Kong, Macau et Taiwan). Je ne conçois pas après 10 ans qu’il n’y ait pas une adaptation internationnale du titre.
NetDragon est une entreprise chinoise connue pour ses jeux en ligne. ce projet de MMO Dungeon Keeper sera leur première expérience de MMORPG en 3D. Maintenant il faut attendre de voir le résultat et ne pas trop en attendre au risque d’être déçu. Dungeon Keeper c’est du lourd et c’est un énorme challenge qui les attend pour retranscrire sous ce format toute la vivacité et la fourberie du monde de Dungeon Keeper.
Nous vous avions fait découvir 10 Gnomes, et bien le onzième épisode de la série est sorti ! J’en ai trouvé 3 pour l’instant et je bloque… Pour la peine j’ai fait un screencast (oui j’aime ça). Le challenge est toujours aussi relevé et c’est avec un plaisir renouvelé qu’on se remet à la recherche de ces petits lutins.
Petit rappel, 10 Gnomes est une série de point-and-click/hidden object, créée par Mateusz Skutni, dans chaque épisode il faut retrouver 10 gnomes en moins de 10 minute. Et c’est loin d’être simple.
L’univers est constitué de photographies en noir et blanc, qu’il faut explorer. En cliquant sur certaines zones, on zoom (le curseur se modifie pour indiquer un hotspot), on peut également, par endroit, changer de vu et découvrir l’une de ces petites créatures.
Comme dans le dixième épisode, les auteurs partagent avec nous une vidéo des lieux.
Vous connaissez tous Google, vous l’utilisez certainement pour rechercher des nouveautés à se mettre sous la dent ou mieux vous venez ici :). Et il est vrai que pour trouver des jeux via le grand G c’est loin d’être commode.
La société Games2Win et son CEO Alok Kejriwal nous promet grâce à leur nouveau service (en béta) un accès rapide à l’ensemble du catalogue mondiale des jeux en ligne (rien que ça :)). Ca s’appelle gamecurry.com.
Le moteur propose également une navigation thématique par titre ou genre. Les utilisateurs peuvent laisser un retour sur le jeu qu’ils ont trouvé. Ce qui permettra à gamecurry.com d’établir une nouvelle base statistique sur les habitudes de recherches des joueurs du monde entier.
Je rejoins assez l’avis de Alok , le fait d’avoir intégrer une interaction sociale (l’évaluation du jeu) aussi simplement est vraiment très intéresant. L’utilisateur qualifie réellement le jeu et celà devient un excellent moyen de retrouver des jeux qui plaisent pour nos portails.
Cependant le marché des outils de recherche est soumis à une concurrence dure et avec Google en face on peut se demander si Gamecurry décollera ou non. Je pense que l’initiative est intéressante et sa spécialisation peuvent lui permettre de toucher une certaine audience. Son index spécialisé et ses outils conçu pour le joueur offre une expérience de recherche bien plus efficace que les moteurs généralistes.
Maintenant reste à voir comment va influencer le SearchWiki de Google dans l’accès à des contenus plus pertients. Il y’a aussi la concurrence et la captation des portails en place qui concurrence cette offre de service.
Reste à voir si Gamecurry sera aussi disponible en marque blanche (un peu comme le custom search de Google), ce qui pourrait être très intéressant pour nous en terme d’enrichissement du contenu.
Pour le moment c’est un peu vide en commentaires et en votes, mais ça s’améliora avec le temps. Quelques fonctionnalités sont encore manquantes :
L’équipe nous promet un ajout constant de nouvelles fonctionnalités, bref à suivre !
Voici un petit screencast pour voir la chose en action.
Alors il y’a eu pas mal de mouvements ces derniers temps autour de la technologie Adobe Flash. J’ai fait une sélection d’articles qui m’a semblé intéressante à lire en tant que créateur de contenu Flash.
Tsouin.com s’est attelé à comparer 4 moteurs 3D régulièrement utilisés (avec une mise à jour):
Selon Tsoin.com, les différences entre Away3D, Alterniva3D et Papervision se tiennent dans un mouchoir de poche (pour les performances brutes). Reste maintenant à voir lequel vous séduira en terme d’API et de fonctionnalités. Un point qui n’a pas été comparé est la qualité du rendu graphique. Peut être qu’un autre comparatif tombera sur ce point en modélisant les mêmes scènes avec les mêmes textures ?
Je rappelle les liens :
Décidément Papervision fait toujours autant parlé de lui. Digital Pictures Interactive a publié une démo d’un petit personnage complet et animé. Il est annoncé que l’équipe aurait employé Papervision pour intégrer le personnage à la capture de la webcam.
D’autres expériences du genre ont déjà vue le jour comme :
Voici la vidéo:
Papervision – Augmented Reality (extended) from dpinteractive on Vimeo.
a publié un super article sur comment masquer efficacement des objets de votre scène.
Ce qu’on y apprend c’est qu’il faut comme souvent choisir la bonne méthode en fonction de son contexte et des objectifs recherchés.
L’article complet en anglais : The Official « visible vs alpha vs removeChild() » Showdown
Toxic 2 est sorti les amis ! Les machines contrôlent l’humanité avec une main de fer. Hazmat doit rempiler et remettre sa combinaison très spéciale (le jaune lui va si bien) et remettre en place celui qui se cache derrière tout ça.
Nitrome vous propose un combat épique entre l’Homme et la Machine, au travers d’un vaste univers pollué par les radiations nucléaires. Petite note, ce jeu de plateforme a été sponsorisé (comme pour le premier épisode) par MTV Arcade, ce qui devrait lui assurer une bonne visibilité.
D’un point de vue du gameplay, les contrôles sont classiques. Les flèches ou WASD vous permettent de contrôller le personnage et la barre d’espace de lancer/poser des bombes. Là où ça devient particulièrement intéressant c’est que certaines parties du terrain sont déformables. Ce qui vous permettra de creuser des tunnels ou des trous pour vous frayer un passage, mieux tendre un piège à vos ennemis !
Au départ vous n’aurez accès qu’à une bombe grenade avec un compte à rebour (stock illimité), puis vous aurez accès à des bombes de plus en plus évoluées. Je suis un peu fourbe ma préférée c’est la petite bombe spiderbot télécommandée, qu’on peut déclencher à distance, lovely.
Le jeu comporte 20 niveaux, 30 avec les niveaux cachés ;), tous avec leurs lots de pièges, d’ennemis plus terribles les uns que les autres. Je vous recommande vraiment de rechercher les 10 levels cachés, ils comportents les monstres les plus impressionants.
La grande différence entre le premier opus et celui-ci, est sans aucun doute la rapidité. Le frame rate a été revue à la hausse, ce qui a une impacte significative sur la réactivité et la fluidité de l’action. Du coup le jeu est bien plus nerveux, mais également un peu plus capricieux à prendre en main. Vous pourrez le remarquer dans le screencast, j’ai dû me battre pour arriver à faire mon premier walljump.
Toutes vos armes étant équipées d’un détonatur ou d’un délai pour exploser, il faut sans cesse mettre au point des tactiques pour rester à l’écart tout en faisant mouche. Les levels deviennent assez hardu à terminer. Ca va clairement vous faire quelque chose quand vous tomberez dans l’acide juste avant la fin d’un level 😉
Le jeu mémorisera votre progression, en terme de level terminé, donc pas d’angoise à avoir de ce côté là. J’aime bien ce jeu qui apporte comme souvent un vrai challenge pour le gamer que je suis. Le délai de déclanchement de la bombe et l’interaction avec le terrain sont les deux originalités dans ce jeu de plateforme et donnent tout le relief au gameplay.
Voici donc le petit screencast des deux premiers niveaux (oui je suis vraiment mauvais ;))
Bon allé j’ai du droïde à dégommer moi !