Jouer-Online Blog

Le monde du jeu en ligne
janvier 6, 2009

Ice Breaker

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , , ,

Fraîchement débarqué, le petit nouveau de chez Nitrome va faire un tabac. Toujours dans une ambiance polaire (comme la météo en France, -9°C ce matin), Ice Breaker est un jeu de puzzle basé sur la physique.

Vous aiderez un capitaine Viking, a sauver ses moussaillons congélés dans la glace. Vous devrez découper la glace et profitez des plans inclinés pour faire tomber nos Viking surgelés dans le bateau. Le capitaine de son marteau puissant les libérera !

Il faudra du timing et d’un peu d’expérimentation avec le moteur physique pour arriver à vos fins. Au niveau du gameplay, c’est assez simple. Les touches fléchés ou WASD font défiler la carte et la souris vous permet de tracer un trait de coupe dans la glasse. A vous les réactions en châines 🙂

Ice Breaker ne se limite pas à des actions de coupes et de suppressions. Au fur et à mesure des 40 niveaux, de plus en plus d’interactions vous seront proposé assez rapidement:

  • les points fixes qui feront pivoter les morceaux de glace pendant leur chute,
  • les cordes qui permettront de lier plusieurs morceaux.

Esthétiquement parlant, je trouve que c’est l’un des plus réussi dans le style pixelisé de Nitrome. Le côté mythique et loufoque des personnages est une réussite.

Côté gameplay, on retrouve des sensations comme sur certains jeux de DS. Les tableaux sont vraiment motivants à résoudre. Bref comme d’habitude ce jeu va faire un carton.

Comme d’habitude les premiers niveaux en screencast :

Jouer à Ice Breaker

10 gnomes episode 12

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , ,

Mateusz Skutnik nous avait promis une année pleine de gnomes, et il l’a fait. Ce douxième épisode clos la série d’un des plus enthousiasmant et addictif jeux d’hidden object du moment

Petit rappel, 10 Gnomes est une série de point-and-click/hidden object, créée par Mateusz Skutnik, dans chaque épisode il faut retrouver 10 gnomes en moins de 10 minute. Et c’est loin d’être simple.

L’univers est constitué de photographies en noir et blanc, qu’il faut explorer. En cliquant sur certaines zones, on zoom (le curseur se modifie pour indiquer un hotspot), on peut également, par endroit, changer de vu et découvrir l’une de ces petites créatures.

Bon cet fois, vous allez devoir explorer les alentours d’un tank, heureusement pour nous désarmer. J’en suis à 8 gnomes et 5 trolls (gnomes tout en noir).

Je partage avec vous ma première partie 🙂

Comme les derniers épisodes, Mateusz nous propose une vidéo des lieux:

Les liens qui vont bien:

janvier 5, 2009

La sélection du week end

Author: Thierry S. - Categories: Sélection du week end - Tags: , , , ,

Première sélection de l’année, on va essayer de faire quelque chose de varié.

  • Fall -Un jeu de puzzle simple mais qui exigera de vous une réfléxion rapide et astucieuse.  Une forme fantôme descend vers le centre de la grille, dépêchez vous de placer la même pièce au centre avant que le fantôme n’arrive à destination.
  • Mixel -Un petit jeu de plateforme super mignon. Vous devrez récupérer des clés pour passer au niveau suivant. Attention, malgrè son apparente simplicité, c’est un jeu difficile même en mode easy.
  • Flubber Rise – Les créateurs d’Oroboros vous proposent un jeu d’arcade pur. Timing et réflexe sont les maîtres mots. Faites rebondir la Flubber Ball dans le ciel, en cliquant dessus. La balle réduit à chaque rebond et lorsque vous chutez, pensez à détruire tout ce que vous pourrez !
  • Mytheria – Un jeu de stratégie avec des cartes. Votre objectif est d’éliminer tous les oppasants. C’est une version simplifié du jeu Magic: The Gathering.
  • Frantic – Un shoot vertical des plus classique, qui vous défoulera très rapidement. On peut piloter son engin à la souris ou au clavier. A vous les powers ups et les séries de blasts à ne pas finir ! Un peu simplet au départ, ce n’est qu’après quelques niveaux que le jeu délivre tout son intérêt.
  • Jewel Lines – Pour passer les niveaux vous devrez assembler horizontalement et verticalement les joyaux de la même couleur. Un classique mais dont on ne se las pas.
  • Nicholas’ Weird Adventure 2 – La suite de  Nicholas’ Weird Adventure, c’est avec un vrai plaisir qu’on se frotte à nouveau à cet escape room bien délirant.
  • The Codex of Alchemical Engineering – Un jeu pour ingénieurs ;). Vous allez devoir reconstruire des mécanisme. Chaque élément à une fonctionnalité propre et vous devrez les assembler dans le bon ordre pour passer le niveau.
janvier 2, 2009

Andrew the droid

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , ,

Je suis un peu dans une humeur « vieux pixels », ça doit être l’effet « nostalgie 2008 » et Andrew the Droid du studio ooPixel tombe pile poil bien.

Le jeu aux accents rétro utilise le principe de rotation du niveau que l’on retrouve dans de nombreux jeux. Alors pas de panique, il ne vous donnera pas la nausée, avec Andrew c’est que du bonheur. 

C’est un challenge de 25 niveaux, où il faudra trouver le bon chemin pour collecter des circuits électroniques, collecter des rubis et activer la sortie pour passer au niveau suivant, que vous aurez à relever.

Le gameplay se décompose en 2 parties :

  • les déplacements Andrew qui se font à l’aide des touches fléchées
  • la rotation du niveau pour faire « tomber » Adnrews là où il faut.

Chaque niveau à un diamant téléporteur qu’il faudra activer en touchant une télécommande verte. les deux étant bien évidemment super bien placés dans le niveau ;). Vous devrez également collecter des rubis dont Andrew est très friand. Il y’a au total 6 cartes électroniques qui améliorent notre petit droid jaune. Les deux premières vous donneront la possibilité de faire pivoter le niveau dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens trigonométrique (ça vous rappelle de mauvais souvenirs? tant mieux :P).

Les niveaux sont également parsemés d’obstacles. Certains blocs peuvent détruire Andrew, pendant que d’autres se détruisent une fois que vous êtes passé dessus. Bref dur dur…

La grande force de ce jeu est sa capacité à vous inciter de niveau en niveau à relever le défi. D’autre part Andrew n’est pas un droid très poli, il a tendance à vous insulter quand vous lui avez fait un peu mal 🙂

La limitation des mouvements vous oblige à être créatif sans pour autant trop vous prendre la tête. On évolue assez rapidement pour ne pas se lasser, mais suffisament lentement pour éveiller chez vous un peu de frustration. La difficulté est très bien gérée et l’ajout progressif de nouveautés rafraîchit le gameplay tout au long de la partie. Le jeu sauvegarde votre progression à chaque passage de niveau donc pas de souci de ce côté là.

Il faudra parfois accepter de ne pas pouvoir récupérer de suite un ruby et de retenter sa chance une fois Andrew un plus performant. C’est un mix astucieux entre plateforme et puzzle qu’ooPixel a su nous présenter.

Andrew est une réalisation super sympa et qui est un exemple de jeu de puzzle sans répetition qui deviennent ennuyeuse. Les améliorations d’Andrew, l’introduyction d’obstacles variées et des tableaux toujours plus complexe donnent envie d’y revenir encore et encore.

Popur conclure c’est une réalisation fraîche, fun et esthétique (pour peu qu’on aime les gros pixels) qui saura vous donner du fil à retordre.

Comme en 2008, voici le petit screencast qui va bien:

Jouer à Andrew the Droid.

janvier 1, 2009

Bonne année 2009

Author: Thierry S. - Categories: Actualité, Note de service - Tags:

Tous nos voeux de bonheur et de réussite !

Que 2009 soit au moins aussi riche en gameplay et richesse graphique que l’année 2008 😛

décembre 31, 2008

Les origines du jeu vidéo : Spacewar!

Author: Thierry S. - Categories: L'instant rétro - Tags: , , ,

Pour débuter notre nouvelle thématique je vous propose un retour au source, soit un bon de 47 ans. Pour le coup on est carrément ultra rétro !

Nous sommes en décembre 1961 au  Massachusetts Institute of Technology sur un PDP-1 de chez DEC. C’est en voulant démontrer les capacités techniques de cette machine que Wayne Wiitanen, J. Martin Graetz et Steve Russell décidèrent que la meilleure démonstration serait un jeu.

Le PDP-1 était une machine extraordinaire pour l’époque:

  • 4000 mots de 18 bits de mémoire,
  • un cycle machine de 5 micro seconces,
  • capable de gérer plusieurs flux d’entrées (indipensable pour jouer à 2),
  • un interrupteur marché/arrêt et la capacité à démarrer très rapidement,
  • ses dimensions compactes, qui font de cette bécane l’un des premiers micro-ordinateurs.

Inspirés par le Cycle du Fulgur et certainement par le programme Apollo, ils (surtout Wayne Wiitanen) décidèrent de créer un jeu de combat spatial.

L’histoire veut que Steve Russel est un peu trainé des pieds au début du projet. C’est donc en 1962 que le jeu est conçu par Steve Russell, Peter Samson, Dan Edwards, Martin Graetz, avec la participation d’Alan Kotok, Steve Piner, Robert A Saunders et d’autres membres du MIT.

Petite anecdote sympa, au début du développement les étoiles étaient placées aléatoirement. Puis Peter Samson, un ami de Steve Russell, ajouta une fonction générant un fond d’étoiles correspondant à de vrais constellations. Le programme fait 9ko et les graphismes sont tous en ASCII.

Le jeu est terminé en avril 1962 et est présenté lors d’une journée « portes ouvertes ». Les membres de l’entreprise DEC se rendent sur place et sont supris (positivement) par cette utilisation de leur machine.

Voici le résultat:

Par la suite les membres de l’équipe Spacewar se dirigèrent vers d’autres horizons. Spacewar quant à lui a été revu, amélioré et modifié à tout va par les hackers du MIT. Mais l’adaptation la plus marquante fut celle réalisé en 1969 (année érotiiique… désolé) sur un système PLATO, le réseau qui reliait tous les ordinateurs du MIT et ceux d’autres université), par Rick Blomme. Cette version permettait de s’affronter via 2 ordinateurs connectés via le réseau : le jeu online est né!

Spacewar c’est la source de toute l’industrie du jeu vidéo. Même s’il ne rencontra pas de répercution mondiale. Ce n’est que 10 ans plus tard, en 1972, que Nolan Bushnell et Pong rencontra la gloire et fera découvrir au grand public le jeu vidéo.

Pong est également le premier succès commercial de ce qu’on appellera plus tard l’industrie du jeu vidéo. Mais Bushnell n’est pas étranger à Spacewar, c’est après l’avoir découvert à l’universite de l’Utah, qu’il décide de créer un nouveau business. Il repompa Spacewar et diffusa Computer Space, mais ce fut un échec. C’est en simplifiant ses concepts et en s’inspirant d’un jeu de tennis de l’époque qu’il lança Pong.

Bushnell n’est pas le père du jeu vidéo en tant que tel, mais belle est bien de l’industrie que l’on connaît aujourd’hui. Il a su développer un premier business model et prouver que celà était une activité profitable.

Ressources

décembre 30, 2008

L’instant rétro, le rétro gaming arrive sur jouer-online.com

Author: Thierry S. - Categories: L'instant rétro - Tags: , , , , , ,
L'instant rétro

Je fais parti de ce qu’on appelle aujourd’hui la génération numérique.

  • J’ai vu les premières consoles de salon débarquer.
  • J’ai vu le lecteur cd audio aussi gros que l’ampli de la chaîne HiFi (ça a mal vieilli HiFi).
  • J’ai fait mes premiers pas sur des PC avec des écrans monocolores verts.
  • j’ai joué avec la TORTUE et j’ai trouvé le TO7 génial.
  • Mon Amstrad puis mon Comodor d’occasion m’ont ébloui.
  • Tetris m’a rendu insomniaque.
  • Je trouve la manette de la NES ergonomique.
  • J’ai grillé un milliard six cent milles piles sur ma Game Gear.
  • J’ai jamais réussi à finir Alex Kid sur ma Master System.
  • J’avais une Mega Drive et mon meilleur pote une SuperNes et on s’engueulait tout le temps.
  • J’ai été scotché par les textures de Lara Croft.
  • J’ai pleuré la mort de la Dreamcast.
  • J’ai toujours rêvé d’avoir un varan qui s’appellerait Yoshi.

Bref j’ai un affecte particulier avec l’industrie du jeu vidéo. Elle a bercé une partie de mon enfance et a bouffé une bonne partie de mon argent de poche pendant mon adolescence.

Du coup c’est avec délice que je regarde l’émission présentée par Marcus: Rétro GAME ONE . Et lorsque j’ai lu sur le  blog de Thierry Roget son billet à propos de 95 jeux vidéos des années 80 en ligne et gratuit, je me suis dit qu’il serait bien de partager avec vous un billet hebdomadaire sur le jeu vidéo rétro disponible en ligne.

En effet, sur le net vous avez beaucoup de ports d’anciens jeux réalisés par des fans. Il existe également des émulateurs en ligne ou sous forme d’exécutables. Ils permettent de rejouer via votre ordinateur à de vieux jeux sans vous ruiner. Oui parce qu’une borne d’arcade c’est vieux et ça coute la peau des fesses.

D’autre part, beaucoup de studios de jeux flash explorent des gameplays issus des jeux des années 80 (notamment Nitrome). Je pense donc qu’un regard en arrière nous permettra de mieux comprendre ce qui se fait aujourd’hui et peut être de trouver des idées pour demain.

Je déclare donc ouverte la catégorie rétro gaming sous le nom de « L’instant rétro » sur Jouer-Online.com. J’essaierai donc de publier tous les mercredis un billet sur le sujet. D’ailleurs signe du destin, ce billet est le 80ème de ce blog 🙂

A ce propos puisqu’on sera un peu oldies, vous devez avoir lu au moins une fois le Manfeste du oldies.

Manifeste du oldies

Être Oldies, c’est aimer les pixels. Des gros, bien flashs et carrés;
C’est voir la vie en 256 couleurs et ressembler à un sprite.
Un pur oldies entend en midi. Ses tympans sont en 4 pistes à 2 voix
Et il lit l’heure sur un « Game & Watch » Nintendo aux couleurs de « Donkey Kong ».

Être Oldies, c’est penser à « Space Invader » quand on parle de la guerre en Irak
Et visualiser « Streets Of Rage » quand Sarkozy combat l’insécurité.
Sous le lit d’un Oldies traîne un vieux clavier Bontempi miteux,
A coté d’une boite à chaussure remplie de cassettes de jeux Amstrad.

Être Oldies, c’est trouver que la Vectrex surpasse la X-Box en graphismes
Et mettre comme sonnerie sur son portable la musique de « Zelda ».
Un Oldies aime les pads « à l’ancienne », avec leur croix directionnelle en forme de « + »
Et coule dans le ciment les sticks analogiques de la Nintendo 64.

Être Oldies, c’est vomir sur les cartes-mémoires, qui en plus sont trop chères;
C’est trouver inutile qu’une manette vibre quand on se prend un gnon.
Le vrai Oldies ne comprend pas qu’un jeu puisse être sur autre chose qu’une cartouche
Et il adore le stupide mécanisme de chargement des jeux Nes.

Être Oldies, c’est configurer Windows en 16 couleurs avec une résolution 640×480
Et regarder pendant des heures le defragmenteur de disque en écoutant Francis Lalanne.
Le puriste Oldies mate « Final Fantasy – Les Créatures de l’Esprit » en noir et blanc
Et cache exprès sa télécommande pour faire comme-à-l’époque-où-y’en-avait-pas.

Être Oldies, c’est organiser des tournois à « Bomberman » en buvant du Tang;
C’est écouter le thème de « Tetris » en Dolby Digital 5.1 sur sa sono Bang & Olufsen.
Un Oldies pur et dur possède un hérisson appelé Sonic, une tortue nommée Bowser
Et refuse de manger des escalopes aux « Toads » de paris.

Être Oldies, c’est trouver que sa voisine ressemble à Koopa Troopa;
C’est vouloir appeler son fils Link et sa fille Daisy.
Un Oldies déclenche exprès une inondation rien que pour téléphoner à son plombier
En espérant qu’il s’appelle Mario et porte une grosse moustache.

Être Oldies, c’est vouer un culte à M. Wright, le manitou de « Sim City »
Et avoir encore envie de se perfectionner à « Street Fighter 2 ».
Un véritable Oldies joue à « Batman Returns » sur Game Gear
Juste pour le plaisir de planer et se balancer avec le grappin.

Être Oldies, c’est vomir en jouant à « Doom » sur un rétroprojecteur 52″
Après avoir ingurgité 12 litres de rhum, 5kg de bon-becs et des lasagnes à la bolognaises.
Un Oldies pur souche dors avec une peluche Yoshi qu’il n’a pas lavée depuis 1992
Et a deux queues de renard suspendues au rétroviseur de sa Traban (une vraie voiture Oldies).

Être Oldies, c’est se nourrir de fruits en faisant des petits bruits comme dans « Fruity Frank »
Et porter un casque de moto avec une antenne en forme de boule rose.
Le Oldies ne dort pas, il se « met en veille »
Et son cerveau est un CPU de type 68000 cadencé à 7,670442Mhz.

Être Oldies, c’est apprendre à dessiner sur « Art Alive » et trouver ça beau.
C’est élever des lemmings, leur teindre le poil en vert et leur tricoter des blouses bleues.
Un bon vieux Oldies garde son premier Game Boy sous une cloche de verre pressurisée
Et prie chaque soir devant l’autel où trône sa Coleco Vision.

Être Oldies, c’est jouer à « Soleil » juste pour faire tourner sur place son personnage
Tout en écoutant le soundtrack intégral de « Chrono Trigger » sur son MD.
Un Oldies extrémiste défèque sur la Game Cube et urine sur la PS2
Et pense que la Jaguar est une putain de console (car comme tous les extrémistes, il est con)

Si être Oldies c’est ça,
Alors j’en suis.

Ghost_Rider

Mine de rien on commence à avoir un rythme sympa:

  • Lundi: « La sélec du week end »
  • Mercredi: « l’instant rétro »
  • Le reste du temps des revues de jeux, de l’actu…

Allé à demain !

décembre 29, 2008

JamLegend: deviens une rockstar sans te ruiner !

Author: Thierry S. - Categories: Jeux, Sites web - Tags: , , , , , , ,

Jam Legend

Jam Legend est une formidable initiative de jeu en ligne. Il reprend le gameplay d’un Guitar Hero, en vous proposant de jouer sur des morceaux dans votre navigateur et avec votre clavier. Il a de sacrés atouts pour devenir un must have de l’année 2009. Les morceaux ne sont pas des gros mastodontes, se sont des titres sous licence Creative Commons. Une excellente manière de découvrir de nouveaux groupes et de promouvoir l’initiaticve Creative Commons.

Comment ça se joue ?

Après une étape d’inscription ultra rapide, on choisit son morceau et c’est parti ! On joue en appuyant sur les touches du clavier de 1 à 5 (attention celles au dessus des lettres, celles du pavé numérique ne fonctionnent pas chez moi) ou sur les touches F1 à F5, puis sur Entrée pour « gratter » les cordes.

- Tutoriel présent sur le site -

- Tutoriel présent sur le site -

Pour chaque morceau vous pourrez choisir 3 niveaux de difficultés: Easy, Medium et Hard. Personnellemnt en Easy je suis déjà complètement à la ramasse.

Il y’a deux prises en main possible, si votre clavier est assez fin (et sans fil) vous pourrez vous la péter grave.

Prise en main du clavier

- Les 2 prises en main -

Le player en Flash est de très bonne qualité. Le son est bon et ne s’accadent pas. Le chargement est très rapide et on apprécie. La partie sociale du jeu est massivement présente et on retrouve le côté party time d’un titre sur console. Le challenge est très présent et on a très vite envie d’enchaîner les titres, pour grimper dans le classement. C’est simple on s’amuse tout de suite et on souhaite rapidement défier ses amis.

La connexion avec Facebook et d’autres permet d’enrichir facilement sa liste d’amis. Reste peut être à mieux intégrer Facebook Connect ?

Jam Legend est une superbe réalisation. Elle exploite à fond son réseau social et le jeu est simple et se concentre sur le fun de se prendre pour une rock star sans envahir votre salon 🙂

Les musiques sont franchement sympas et rythmées comme il faut. Avec le succès, je pense qu’on verra d’ici peu des gros titres arriver sur la plateforme. La communauté va certainement nous sortir des claviers customs pour jouer à Jam Legend. C’est vraiment un potentiel énorme dont dispose Jam Legend.

Pour conclure voici un screencast de votre serviteur (oui moi la musique j’ai arrêté depuis le pipot au collège alors hein…)


Le trailer de JamLegend:

Creative Commons ?

Les licences Creative Commons ont été créées en partant du principe que la propriété intellectuelle était fondamentalement différente de la propriété physique, et du constat selon lequel les lois actuelles sur le copyright étaient un frein à la diffusion de la culture.

Leur but est de fournir un outil juridique qui garantit à la fois la protection des droits de l’auteur d’une œuvre artistique et la libre circulation du contenu culturel de cette œuvre, ceci afin de permettre aux auteurs de contribuer à un patrimoine d’œuvres accessibles dans le « domaine public » (notion prise au sens large).

(source wikipedia)

décembre 26, 2008

Des jeux de Noël

Author: Thierry S. - Categories: En vrac - Tags: , ,

Finalement, je poste rapidos quelques jeux en vrac.

Je suis pas un fana des jeux de Noël mais ceux là sont sympas. Même s’ils ne sont non plus des jeux d’anthologie ils vous permettront de digérer la bûche de tatie Jeanine en vous amusant 🙂

décembre 24, 2008

Bonnes fêtes à tous !

Author: Thierry S. - Categories: Jeux, Note de service - Tags: , , , ,

Ho Ho Ho ! Vous l’entendez pépé Noël ? Moi oui, ici on est un peu déjà dans l’ambiance de Noël. Le blog sera un peu en hibernation, les fêtes c’est une occupation à plein temps. La publication de billet sera suspendu jusqu’au 29 Décembre. Les commentaires restent ouverts, je veille au grain.

Toute l’équipe vous souhaite donc d’excellentes fêtes de Noël ! Et pour s’amuser ensemble je vous ai choisi un jeu qui résume assez bien le niveau actuel des jeux en flash : Flashsteroids 3D.

C’est un jeu en 3D qui a su resté fun et sobre. Pour ma part, un jeu flash ne doit pas devenir une super production 3D « eye candy ». Il faut conserver des gameplays simples, qui permettent aux joueurs de s’amuser rapidement et qui se termine assez vite ou que l’on puisse utiliser en mode « on demand ».

Pour en revenir à  Flashsteroids 3D, j’ai aimé la musique. Elle est bien planante et donne une ambiance sympathique. Le jeu me rappelle un Star Fox d’une Super Nintendo avec ces gros polygones et la réactivité de l’avion.

Comme toujours voici le screencast qui va bien:

Jouer à Flashsteroids 3D

Allé nous on y va, on a pas mal de bouteilles bricoles à terminer jusqu’à ce soir 🙂 Fêtez bien et à très vite !