Il est temps pour moi de voler vers de nouveaux horizons, je quitte ce soir la société ActiNetwork. Ce blog faisait partie de mes missions. Et c’était sans doute celle qui m’a permis de découvrir un goût pour l’écriture.
Une écriture rapide, synthétique et très détendue. Une sorte d’écriture snapshoot, « come as you are » nous dirait Kurt.
Jouer-Online
Alors ce petit bout de web, je vais tenter de le résumer en quelques chiffres, modestes mais tout de même :
245 articles,
13 catégories,
492 tags (oui on s’est lâché),
68 commentaires ,
207 spams :),
60 Go de vidéos, d’images et de photos,
4e sur la requête Jouer Online,
4e sur la requête nitrome,
1er sur quelques hits dont nous avons parlé,
8000 Visiteurs / mois,
15000 Pages Vues / mois,
Un temps de plus d’une minutes par visite.
Bilan
Nous sommes satisfait du travail réalisé, mais il faut l’avouer le blog n’a pas décollé comme nous l’espérions. En même temps nous n’avons pas fait de grand chantier et nous avons investi entre 30minutes et 2h par jour.
Nous avons créer là du contenu exclusif. Celà nous a permis de trouver une organisation pour un projet futur. Il nous est apparu que ce format est très intéressant, surtout si on le couple à un site comme ZeBest 3000. Il permet d’insuffler de la vie et de la qualité à un projet plus orienté communauté.
Et maintenant ?
Je ne sais pas ce que deviendra ce blog, aussi si vous avez envie de reprendre le flambeau ou de proposer un projet, ActiNetwork est ouverte à toute proposition. Quant à moi je vais m’éloigner du monde du jeu en ligne pour revenir à mes sources : le développement web.
Même si je resterai toujours un joueur et un grand amateur de gros pixels.
A bientôt et que la force du paddle soit avec vous.
Avec Gravitee 2 vous devrez obéir à la gravité, c’est la Loi ! Passé cette vanne un peu spéciale, voyons de plus prêt ce jeu.
Tout de go je vous l’annonce, je déteste ce jeu mais pourtant je pense qu’il devrait plaire. Pourquoi ?
La physique y est bien rendue et les réactions de la balle ne sont pas capilotractées. L’interface est claire et mignonne et la difficulté bien gérée. La musique aussi est sympathique et soignée.
Mais je trouve le jeu creu…. Je me suis clairement ennuyé dès le 4e niveau et puis je suis une quiche monumentale à ce genre de jeu, du coup je te déteste Gravitee 2.
Regardez la vidéo, vous verrrez ma piètre prestation, saurez vous faire mieux ?
Ca fait un moment que pixel grower est le petit phénomène du jeu casual en ligne. A vrai dire je suis passé à côté. L’ayant testé je l’ai rapidement jetté pour 2 raisons :
trop facile
musique ultra chiante
Puis j’y suis revenu parce que des blogs influents (oui je suis faible) en ont dit du bien. Ils y expliquaient que l’intérêt du jeu venait au bout du 4e niveau. Soit je baisse le son, je m’y remets et nom de Zeus ! C’est vrai !
C’est magique à partir du 4e niveau ça vous excite les particules. Le cinquième niveau vous achèvera et vous vous lamenterez comme un cloporte et vous y reviendrez encore et encore. Parce que vous avez été humilié au niveau 6 ! Oui le niveau 6 seulement.
L’évolution évolue au carré. Elle est multipliée à chaque fois par elle même.Tout le fun est là et c’est vraiment terrible.
Je suis tombé sous le charme de ce jeu. Il allie tout ce que j’aime de Samorost, Ten Gnomes et une musique à couper le souffle.
Ce jeux est fantastique et ses énigmes loin de l’évidence vous porte dans un voyage imaginaire et féérique. Il fait partie de ces expériences poétiques du cybermonde. De la poésie impalpable qui vous envoute l’esprit et qui rend notre réalité plus agréable.
Aujourd’hui j’ai pas envie d’écrire, alors je vais la faire courte.
MagnetiBall c’est un must de sobriété dans le domaine du jeu de physique. Graphismes minimaux rappellant la bonne époque des console vectoriel (Vectrex revient !). Musique entraînante, difficulté dosé au nanogramme prêt. Aucun des 60 niveaux ne vous posera de problème dans la découverte de la solution, mais passé à la réalisation sera autre chose.
Simplicité et efficacité sont les clés de ce super jeu de réfléxion / puzzle / physique (Google tu m’as vu ?).
Je vous prévient juste, si vous y touchez vous allez en prendre pour quelques heures 😉
Quand les cochons voleront, les poules auront des dents ! Eh bien non, ils volent nos amis à queue tirbochonnée et à groin, la preuve avec When Pigs Fly.
Véritable OVNI du jeu de plateforme, sa bande son et ses graphismes détonnent. C’est supra flashy et meugnon, enfin si on aime le gros pixel de jambon. La musique est un peu entétante, mais c’est rigolo 🙂
Le but est de sortir d’une caverne avec vos ailes de suidé. Et c’est franchement pas facile. les contrôles sont précis, mais l’inertie des mouvements est vraiment complexe à prendre en main. Et c’est là tout le challenge, à chaque tableau il faut faire preuve de dextérité, de rapidité et aussi d’ingéniosité.
Autant le tire tout de suite, votre suidé va mourrir des centaines de millions de fois et couinant et ça me fait marrer à chaque fois 🙂
When pigs fly est vraiment divertissant surtout pour les personnes comme moui qui ont eu une semaine un peu spéciale et franchement pas facile !
Dans nos petites vies occidentales bien calmes et rangés on a besoin de frisson et d’aventure pour nous sentir vivant. Il n’y a pas si longtemps (quelques dizaine d’années), nos contrées étaient encore à feu et à sang. Les Hommes se battaient pour quelques étendards afin d’assouvir la soif de pouvoir et de conquêtes de quelques puissants.
Vous aimeriez revivre une aventure épique, bardée de côte de maille et de lances ? Vous aimeriez prendre les commandes d’une armée de viking sanguinaires, cherchant à écraser les crânes ennemis sous ses pieds ? Le parfum de la mort sur le champs de bataille vous ennivre, et étanche pour le moment votre soif de conquête ? Vous êtes un de ces puissants qui mènents ses hommes à la victoire ?
1066 c’est tout ça et même un peu plus ! Un jeu de stratégie au tour par tour d’une finesse et d’une qualité incroyable. Durant la bataille vous donnerez les ordres à vos archers, fantassins et autres guerriers. Tantôt vous provoquerez, tantôt vous lancerez une pluie de flèches mortelles, tantôt vous chargerez l’ennemi avec brutalité ! Mourrir ou faire mourrir, vos troupes n’aurot pas d’autres choix.
Il faudra bien veiller à surveiller la motivation de vos troupes, car un guerrier motivé et un guerrier qui tue mieux 🙂 Des mini jeux ont aussi été intégrés, vous n’êtes pas passif devant l’action. Vous devrez réaliser des combos pour maximiser les charges de vos combatants. Il vous fraudra également indiquer aux archés l’angle et la force du tir. Et en provocation, vous recopierez les injures de l’époque. Mon préféré « sale bouffeur de merde de rats ».
Un mode multijoueur existe pour affronter d’autres seigneur, mais je ne l’ai pas encore tester. Il est également possible de créer sa propre bataille. Là encore jen ‘ai pas tester, mais ça à l’air bien foutu.
L’interface est riche et très bien pensée. La présentation sous forme d’une carte symbolique permet de gérer facilement ses troupes, tandis que la vue horizontale – où les animations se déroulent – est magnifique. Des effets de zooms sur le champ de bataille ont été intégrés lors des phase de mini jeux. Ils vous immergent au coeur de l’action.
Et puis il y’a du sang. Et pas qu’un peu, ça gicle, ça hurle et ça meurt attrossement. On ressent l’influence du film 300. On a d’ailleurs quelques effets du genre sur l’affichage des traces de sang. L’ensemble graphique est magnifique. La cinématique de départ en dis long sur le soin qui a été apporté lors de la réalisation.
Et la musique ? Exceptionnelle ! Elle est digne d’une production à gros budget. L’ambiance tribale et rythmée est rendu et vous donne les frissons d’un bon vieux Braveheart.
N’hésitez pas une seconde, 1066 est un jeu exceptionnel et qui vous propose un challenge digne de ce nom. Même en easy c’est pas facile. Allé bonne guerroierie mon seigneur !
Pixel c’est le nouveau jeu de shoot du studio Hero Interactive. C’est un jeu pour le moins curieux que le créateur de Bubble Tank nous propose là.
Vous contrôlez un petit avatar/vaisseau dans la dimension pixel. Il faudra lutter contre des vagues incessantes d’ennemis aux formes les plus loufoques et variées que les autres.
Jusque là rien de bien original, d’autant plus que les ennemis, les décors et votre avatar ne sont pas du tout en pixel art. Alors mais diantre d’où vient cette nomination de Pixel ? Et en quoi ce jeu est intéressant ?
Lorsque vous dégommez un ennemi, il explose en une myriade de petits pixels. Vous accourrez pour les récupérer, histoire de charger votre barre de vie et faire avancer votre progression dans le jeu. Mais un petit phénomène rigolo s’opère, lorsque vous récupérez des pixels colorés, votre vaisseau va projeter d’autres pixels. Ce qui a pour effet de créer des effets de chaînes de réactions. Ces chaines sont comptabilisées en combo. Plus vous en faîtes, plus l’écran se transforme en une oeuvre d’art, avec un maginfique effet de feu d’artifice.
La gestion des réactions est un peu complexe au départ, mais on l’exploite rapidement et vous poutrez un maximum d’ennemis. Concernant les contrôles c’est simple : la visé s’opére par rapport à la position de la souris, via un système de rotation. Le tir se déclenche à la souris ou par pression sur la barre d’espace.
Personnellement je déteste les tirs centrés sur la souris. Les ennemis sont souvent derrière vous… Celà a pour effet d’inverser la visé et c’est franchement pénible. Cependant avec les réactions en chaînes, on arrive rapidement à se passer de viser pour créer une sorte de « grosse onde de pixels mortels » autour de soit. Et c’est peut être une des clés pour réussir.
Par moment vous devrez taquiner de grosses bestioles, des boss. Il sont juste gros et pas franchement compliqués à battre. La difficultés tient dans le calcul de votre progression. Elle se fait sur le nombre de pixels dans votre barre de vie. Si vous gâchez des pixels vous diminuez le stock et votre progression recule. Il y’a plus d’ennemis, mais vous devez économiser vos tirs au fil de l’aventure… Difficile équation, qu’il faut résoudre. Il faut exploiter le système de combo au maximum. Tout est là 🙂
Pixel est un jeu addictif, c’est comme le Nutella, dès la première cuillère ont est accroc à vie. Sauf qu’avec Pixel vous ne prendrez pas de gras. C’est un excellent jeu de tir aux effets pyrotechniques réussi. J’allais presque oublier de parler de la musique. C’est simple, si un jour elle est disponible en téléchargement, je prend de suite. Elle est G-E-N-I-A-L-E, elle porte toute l’ambiance du jeu.
Pixel est réussi et immersif. La seule chose qui vous fera décrocher ça sera la crampe dans votre bras 😛
Aujourd’hui je laisse la plume à Jean. Il est fan de Stepmania est m’a proposé de nous faire un article sur le jeu.
Si vous aussi vous avez un jeu qui vous plaît et que par le plus grand des hasards vous avez envie d’en parler Jouer-Online peut être votre tribune 🙂
Je voudrais vous parler d’un jeu qui est parfois méconnue en france, mais qui compte néanmoins des fans dont moi-même. Avant le succès de Guitar Heroes, il existait déjà de nombreux jeux musicaux dont le plus célèbre Dance Dance Revolution. Et ce n’est pas de Dance Dance Revolution dont je vais vous parler mais de Stepmania.
Dance Dance Revolution, ou DDR, est un jeu vidéo qui se joue à la base avec les pieds. Il a été créé sous forme de jeu d’arcade par Konami au Japon en 1998. Depuis, de nombreuses versions sont apparues, par exemple des versions auxquelles ou l’on peut jouer chez soi (Stepmania).
StepMania est un jeu vidéo libre, clone de Dance Dance Revolution de Konami ou encore Pump It Up. Il est gratuit et disponible pour toutes les plates-formes. C’est un jeu qui se joue au clavier, sur lequel on utilise les flèches (haut, bas, gauche, droite); ou par le biais de tapis de danse, avec les pieds, si vous en possédez un.
Vous trouvez de nombreuses informations sur Stepmania sur son site officiel : stepmania.com
Au cours du jeu, une musique, est jouée, et des flèches défilent de bas en haut sur l’écran. Le joueur doit appuyer sur les flèches de son clavier correspondants lorsque les flèches atteignent un repère constitué de flèches fixes en haut de l’écran. Au dessus votre barre de vie qui se remplie ou se vide en fonction de vos performances.
Mais sur quoi joue t’on ? Et bien à l’origine Dance Dance Revolution se sont des morceaux Dance/Techno japonais , donc en générale les musiques sont bien rythmées.
Si le joueur arrive à la fin de la musique, une appréciation générale sous la forme d’une lettre de A à E est donnée.
Les débuts sur Stepmania sont souvent laborieux, mais la progression est assez rapide 🙂
Chaque chanson a sa propre vitesse, la plus lente allant à 50 BPM à 400 BPM(battement par minute).
Les morceaux ont également un niveau de difficulté illustrés sous la forme de pieds. Les morceaux les plus difficiles ont dix pieds. Un gentil petit graphique vous montrera les caractéristiques de la chanson (air, voltage, stream, chaos, freeze).
Bon pour ceux qui ont pas compris, c’est pas grave, il y a un tutoriel sur le site officiel, mais bon il faut pas être allergique à l’anglais (ça se soigne!).
En revanche il ne dispose d’aucune musique à la base, il vous faudra alors les télécharger sur le site officiel (sur cette page) ou sur les nombreux sites de la communauté Stepmania. Les packs musiques sont à coller dans le répertoire Songs du répertoire d’installation de Stepmania. En général en double cliquant l’archive retrouve bien ce chemin pour vous 🙂
Il existe des milliers de morceaux connus – ou pas, un large choix de musiques réalisées par des fans est disponible et tous le monde y trouvera son bonheur !
Stepmania possède des fonctionnalités multi joueurs que se soit en local ou en mode online. Il est également possible de configurer sa partie de nombreuses manières. Le jeu propose aussi plusieurs modes qui en ravirons plus d’un pour relever les challenges. Un des grands atouts de Stepmania c’est que l’on peut y mettre les musiques que l’on veut, et on trouve de tout et pour tous les goûts.
Ce que j’ai trouvé très amusant c’est que, au début on a aucune coordination mais on arrive néanmoins à finir une chanson. Et puis après on en fait une autre pour voir, et puis « tiens elle a l’air sympa cette chanson ! » En plus le fait de voir ses statistiques à la fin d’une partie donne envie de faire mieux la prochaine fois. « j’arriverai à la faire en Light, marre du niveau Beginer » se dit on assez rapidement 😉
Autre point très intéressant est que Stepmania est à la base un éditeur de chanson DDR, de ce fait vous pourrez donc à partir d’une musique que vous possédez crée vos propres flèches via cet éditeur. Ainsi vous pourrez jouer à votre propre chanson. A quel bonheur de jouer sur ma musique préférée, j’avais l’impression que c’était moi qui jouait.
C’est un peu pour toutes ces raisons qu’il est appréciable tant par la diversité des musiques disponibles que par la liberté que l’on s’octroit à les modifier ou en créer d’autres. Le jeu est lui plutôt complet car on peut choisir de nombreux modes de jeu que je vous laisserait découvrir. Il vous faudra certainement vous entrainer pour arriver vraiement a apprécier. De plus la pratique de Stepmania avec un tapis peut être comparée à du fitness, le sport et le fun, que demander de plus.
C’est un jeu qui peu sembler déroutant au départ mais je vous assure que si vous appréciez un minimum vous deviendrez vite accro. Et très vite vous rêverez de flèches sur un rythme endiablé. Vous voudrez devenir fort, toujours plus fort, mouhahaha!!! (rire diabolique)
Alors si vous n’avez pas peur des crampes lancez vous.
Marre d’être gentil et honnête ? Comme je vous comprends. Alors aujourd’hui on va faire les pourris, les vrais casseurs de dents et arracheurs d’ongles.
The Heist 2 vous met aux commandes d’un Gang dont l’objectif sera de récolter 5 millions de dollars. Au menu des rejouissances :
mener des braquages en tout genre,
recruter les pires crapules aux talents les plus sordides,
ramasser le ponion,
des courses poursuites avec les flics,
pousser dans le décor des ambulances 🙂
Chaque mission se déroule en plusieurs phases :
On prépare l’équipe et le matériel
On passe à l’action c’est le casse à proprement parler,
On se casse au plus vite,
A toute blinde, sur l’autoroute il faut semer les flics,
On fait les comptes et on fête ça !
La gestion du gang se décompose en 3 parties : les véhicules, les membres du gang, les armes.
Les véhicules
Les véhicules vont définir le nombre de personnes qui vont partir en mission. Un véhicule léger s’enfuira plus vite mais sera moins résistant. Tous les véhicules peuvent être améliorer, du simple boost au Nitro jusqu’au lance missile !
Les membres du gang
Chaque gangster à une aptitue particulière. Il y’a les gros bras qui tapent dur, ceux qui coordonnent l’équipe et les hackers qui déjouent tous les systèmes de sécurités.
Il faut trouver la bonne combinaison de talents, qui permettront d’aller au plus vite et de ramasser un max de $$$ ou d’€€€ 🙂
Les armes
Chaque membre de votre équipe va se voir attribuer une arme, à vous de choisir laquelle. Elles améliorent l’intimidation et la force de frappe. Allez y ! On est pas là pour rigoler.
Notre avis
The Heist 2 est avant tout un jeu de stratégie. Chaque mission fait appel à des besoins particuliers. Etre un un mania de la mafia n’est pas si facile que celà. L’ajout de la course poursuite est un vrai plus. Il permet au joueur de s’immerger dans le scénario et de prendre part à l’excitation du casse.
Le tout est vraiment très bien réussi, on a un part du fun d’un GTA 🙂 Et puis la bande son est vraiment sympa. Je ne l’ai pas mis dans la vidéo, mais essayé d’appuyer sur M en mode course poursuite.
Une très bon jeu dont on espère d’autres épisodes !